A l’inverse des autres personnes interpellées le 22 mars lors de la marche d’Ensemble pour la démocratie, le président du comité d’organisation n’a pas été remis en liberté. Il lui serait reproché d’avoir financé des actions de « déstabilisation » en 2013.
Arrêtés par la police, le 22 mars 2018, lors d’une marche interdite d’Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (EDS), coalition de partis et mouvements de l’opposition), et accusés de « troubles à l’ordre public » par la justice, dix-huit opposants ont été jugés vendredi et condamnés à douze jours de prison. Une peine couvrant leur détention préventive. Tous ont donc été remis en liberté. Sauf un : Jean Gervais Tchéidé, président du comité d’organisation de la marche.
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Arrêtés par la police, le 22 mars 2018, lors d’une marche interdite d’Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (EDS), coalition de partis et mouvements de l’opposition), et accusés de « troubles à l’ordre public » par la justice, dix-huit opposants ont été jugés vendredi et condamnés à douze jours de prison. Une peine couvrant leur détention préventive. Tous ont donc été remis en liberté. Sauf un : Jean Gervais Tchéidé, président du comité d’organisation de la marche.
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