L’Institut des sciences et techniques de la communication (Istc) a abrité le jeudi 12 avril 2018 la cérémonie de remise du Code d’éthique et de déontologie du journaliste en Côte d’Ivoire.
C’était en présence de Ydo Yao, directeur du Bureau-Afrique de l’ouest de l’Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (Unesco).
Ydo Yao a souligné qu’il faut démocratiser l’information en permettant aux malvoyants et malentendants d’y avoir accès par des modules de formation. Puis, il a avoué : « les medias nouveaux sont entre les mains des jeunes qui peuvent tout bouleverser. Donc, il faut les former à avoir l’esprit critique des réseaux sociaux avant de publier quoi que ce soit». Poursuivant, il a indiqué que ce sont 200 journalistes qui ont été formés par l’Unesco. Il s’agit entre autres des journalistes de radios communautaires, des rédacteurs en chef sur leur ligne éditoriale. Aussi, a-t-il révélé que « les éléments des forces de l’ordre ont été formés à la liberté de la presse et à la protection des journalistes ». En revanche, il a demandé que ces deux entités (journalistes/Forces de l’ordre) ne se regardent pas en chiens de faïence, mais en partenaires. Ydo Yao a martelé que l’Unesco, agence des Nations unies n’a de cesse d’apporter son aide aux journalistes. C’est en cela qu’elle a contribué à la confection du Code d’éthique et de déontologie du journaliste en Côte d’Ivoire. Quant à Zio Moussa, président de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et la déontologie (Olped), initiateur de ce Code d’éthique et de déontologie, il a précisé : « ce document que nous allons remettre aux journalistes n’est pas le fruit d’une inspiration ministérielle mais celui des professionnels de la communication. Ce Code veille à la qualité de notre travail. C’est une charte écrite par nous-mêmes ». Le président de l’Olped a traduit toute sa reconnaissance à l’Unesco et à Ydo Yao pour avoir accepté d’accompagner la réalisation de ce Code.
Notons que ledit Code est un livret de 24 pages qui explique les droits et devoirs du journaliste en toute situation.
M. Ouattara
C’était en présence de Ydo Yao, directeur du Bureau-Afrique de l’ouest de l’Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (Unesco).
Ydo Yao a souligné qu’il faut démocratiser l’information en permettant aux malvoyants et malentendants d’y avoir accès par des modules de formation. Puis, il a avoué : « les medias nouveaux sont entre les mains des jeunes qui peuvent tout bouleverser. Donc, il faut les former à avoir l’esprit critique des réseaux sociaux avant de publier quoi que ce soit». Poursuivant, il a indiqué que ce sont 200 journalistes qui ont été formés par l’Unesco. Il s’agit entre autres des journalistes de radios communautaires, des rédacteurs en chef sur leur ligne éditoriale. Aussi, a-t-il révélé que « les éléments des forces de l’ordre ont été formés à la liberté de la presse et à la protection des journalistes ». En revanche, il a demandé que ces deux entités (journalistes/Forces de l’ordre) ne se regardent pas en chiens de faïence, mais en partenaires. Ydo Yao a martelé que l’Unesco, agence des Nations unies n’a de cesse d’apporter son aide aux journalistes. C’est en cela qu’elle a contribué à la confection du Code d’éthique et de déontologie du journaliste en Côte d’Ivoire. Quant à Zio Moussa, président de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et la déontologie (Olped), initiateur de ce Code d’éthique et de déontologie, il a précisé : « ce document que nous allons remettre aux journalistes n’est pas le fruit d’une inspiration ministérielle mais celui des professionnels de la communication. Ce Code veille à la qualité de notre travail. C’est une charte écrite par nous-mêmes ». Le président de l’Olped a traduit toute sa reconnaissance à l’Unesco et à Ydo Yao pour avoir accepté d’accompagner la réalisation de ce Code.
Notons que ledit Code est un livret de 24 pages qui explique les droits et devoirs du journaliste en toute situation.
M. Ouattara