Abidjan - La Fondation Merck engage les décideurs à définir des interventions pour améliorer l'accès à des soins de fertilité réglementés et rentables en Afrique et dans les pays en développement.
Selon un communiqué publié lundi par l’Organisation de la presse africaine (APO), cette campagne est menée par la fondation, en partenariat avec la Fédération internationale de gynécologie et d'obstétrique (FIGO), à l’occasion du panel ‘’Merck More Than a Mother (Merck Plus Qu'une Mère)’’, lors de leur Conférence régionale 2018 à Dubaï, aux Emirats arabes unis.
« Grâce à Merck Plus Qu'une Mère, nous voulons réunir les prestataires de soins de santé, les décideurs, les universitaires, les femmes leaders, les médias et les artistes pour définir les interventions afin de briser la stigmatisation due à l'infertilité autour des femmes et renforcer les capacités de soins de l’infertilité en Afrique et dans les pays en voie de développement », a commenté Dr. Rasha Kelej, PDG de la Fondation Merck.
Elle a également souligné que la Fondation est dédiée à l'autonomisation des femmes qui souffrent de discrimination et de violence en raison de leur incapacité à avoir des enfants, en créant le changement de culture pour briser la stigmatisation due à l'infertilité à tous les niveaux, non seulement en Afrique mais aussi en Asie, en Amérique Latine et partout où c'est nécessaire.
Dans de nombreuses cultures, les femmes sans enfants souffrent de discrimination, de stigmatisation et d'ostracisme. Leur incapacité à avoir des enfants entraîne un grand isolement, l'exhérédation et des agressions. « Merck Plus Qu'une Mère » habilite ces femmes à travers l'accès à l'information, la santé, le changement de mentalité et l'autonomisation économique.
La Fondation a fourni à plus de 50 candidats, une formation clinique et pratique de trois mois à six mois aux spécialistes en fertilité et aux embryologistes dans plus de 17 pays d'Afrique et d'Asie.
Plus de 1,200 femmes infertiles au Kenya, Ouganda, Nigeria, Ghana, Tanzanie, RCA, Éthiopie, Libéria, Niger, Gambie et Côte d'Ivoire qui ne peuvent plus être traitées ont été autonomisées socialement et économiquement pour mener une vie indépendante et plus heureuse à travers le programme « Empowering Berna ».
cmas
Selon un communiqué publié lundi par l’Organisation de la presse africaine (APO), cette campagne est menée par la fondation, en partenariat avec la Fédération internationale de gynécologie et d'obstétrique (FIGO), à l’occasion du panel ‘’Merck More Than a Mother (Merck Plus Qu'une Mère)’’, lors de leur Conférence régionale 2018 à Dubaï, aux Emirats arabes unis.
« Grâce à Merck Plus Qu'une Mère, nous voulons réunir les prestataires de soins de santé, les décideurs, les universitaires, les femmes leaders, les médias et les artistes pour définir les interventions afin de briser la stigmatisation due à l'infertilité autour des femmes et renforcer les capacités de soins de l’infertilité en Afrique et dans les pays en voie de développement », a commenté Dr. Rasha Kelej, PDG de la Fondation Merck.
Elle a également souligné que la Fondation est dédiée à l'autonomisation des femmes qui souffrent de discrimination et de violence en raison de leur incapacité à avoir des enfants, en créant le changement de culture pour briser la stigmatisation due à l'infertilité à tous les niveaux, non seulement en Afrique mais aussi en Asie, en Amérique Latine et partout où c'est nécessaire.
Dans de nombreuses cultures, les femmes sans enfants souffrent de discrimination, de stigmatisation et d'ostracisme. Leur incapacité à avoir des enfants entraîne un grand isolement, l'exhérédation et des agressions. « Merck Plus Qu'une Mère » habilite ces femmes à travers l'accès à l'information, la santé, le changement de mentalité et l'autonomisation économique.
La Fondation a fourni à plus de 50 candidats, une formation clinique et pratique de trois mois à six mois aux spécialistes en fertilité et aux embryologistes dans plus de 17 pays d'Afrique et d'Asie.
Plus de 1,200 femmes infertiles au Kenya, Ouganda, Nigeria, Ghana, Tanzanie, RCA, Éthiopie, Libéria, Niger, Gambie et Côte d'Ivoire qui ne peuvent plus être traitées ont été autonomisées socialement et économiquement pour mener une vie indépendante et plus heureuse à travers le programme « Empowering Berna ».
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