Construit en 1996 par le maire Bouys Sianélé Philippe à la demande des femmes commerçantes, le petit marché de Libreville comportait trois hangars avec box. Le vent ayant rasé l’un des trois, aujourd’hui un seul sur les deux restants est exploité. Devenu une décharge en plein marché, la population riveraine, les commerçantes et la population côtoient les maladies à longueur de journée.
Doumbia Youssouf, riverain, la trentaine révolue contient mal sa colère. « C’est à cause de la crise que ce que nous vivons est arrivé. Les femmes à cause des fusils qui crépitaient ont préféré rester à terre pour fuir rapidement. Après la crise, la nature ayant horreur du vide, ce joli hangar s’est transformé en dépotoir. Une fois, la mairie est venue nettoyer sans... suite de l'article sur Pôle Afrique
Doumbia Youssouf, riverain, la trentaine révolue contient mal sa colère. « C’est à cause de la crise que ce que nous vivons est arrivé. Les femmes à cause des fusils qui crépitaient ont préféré rester à terre pour fuir rapidement. Après la crise, la nature ayant horreur du vide, ce joli hangar s’est transformé en dépotoir. Une fois, la mairie est venue nettoyer sans... suite de l'article sur Pôle Afrique