Bouaké - Le tribunal de première instance de Bouaké a condamné à 24 mois de prison ferme, 19 personnes accusées d’avoir pris part à la violente manifestation contre la Compagnie ivoirienne d’électricité survenue le 22 juillet 2016 à Bouaké.
Elles ont été condamnées, mercredi, à Bouaké, pour quatre chefs d’accusations à savoir, "la participation à une manifestation non autorisée, la destruction ou dégradation volontaire plus ou moins gravement, par des actions violentes, tout ou partie de plusieurs édifices publics ou privés appartenant à l’État, à des collectivités publiques et à des entreprises privées, dégâts volontaires à la propriété immobilière des organismes victimes de la manifestation et vol en réunion avec effraction extérieure".
Deux autres accusés à savoir, Bouraïma Diallo dit Jakou Le Kocan et Diaby Mamadou alias caporal Diaby ont été acquittés, puis relâchés.
Des manifestations de colère à Bouaké, le 22 juillet 2016, pour protester contre l’augmentation du coût de l’électricité, avaient dégénéré, se transformant en des actes de pillage et de saccage de plusieurs édifices publics et privés. Le préjudice de ces dégâts est estimé à plus d’un milliard de FCFA.
nbf/tm
Elles ont été condamnées, mercredi, à Bouaké, pour quatre chefs d’accusations à savoir, "la participation à une manifestation non autorisée, la destruction ou dégradation volontaire plus ou moins gravement, par des actions violentes, tout ou partie de plusieurs édifices publics ou privés appartenant à l’État, à des collectivités publiques et à des entreprises privées, dégâts volontaires à la propriété immobilière des organismes victimes de la manifestation et vol en réunion avec effraction extérieure".
Deux autres accusés à savoir, Bouraïma Diallo dit Jakou Le Kocan et Diaby Mamadou alias caporal Diaby ont été acquittés, puis relâchés.
Des manifestations de colère à Bouaké, le 22 juillet 2016, pour protester contre l’augmentation du coût de l’électricité, avaient dégénéré, se transformant en des actes de pillage et de saccage de plusieurs édifices publics et privés. Le préjudice de ces dégâts est estimé à plus d’un milliard de FCFA.
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