Abidjan - Le premier secrétaire général de la fédération estudiantine de Côte d’Ivoire (FESCI), Dr Martial Joseph Ahipaud, a indiqué samedi que sans la FESCI, il n’y aurait pas eu de démocratie en Côte d’Ivoire.
Selon l’enseignant chercheur à l’université Alassane Ouattara, "dans les années 90, il était question pour les étudiants ivoiriens de poser la question de démocratie pour que la Côte d’ Ivoire ait droit à la parole. Et c’est ce qui a favorisé l’avènement du multipartisme et la fin du parti unique, Parti démocratique de Côte d’Ivoire ».
«C’’est pourquoi le 21 avril 1990, date de création de la FESCI restera très mystique et mystérieuse » a-t-il ajouté.
Il s’exprimait lors de la célébration des 28 ans de la FESCI organisée au terrain du forum de l’université Félix Houphouët-Boigny de Cocody (Abidjan).
Pour lui, la FESCI est le seul mouvement d’élèves et étudiants très consciencieux et responsable dans l’histoire de la Côte d’ivoire à partir duquel les étudiants ont su poser les problèmes de société pour opérer des changements qualitatifs en vue de l’amélioration des conditions d’études et de vies des élèves et étudiants.
Raison pour laquelle, le tout premier secrétaire général de la Fesci, trouve inadmissible que des anciens secrétaires généraux de la FESCI soient en exil ou en prison pour leur conviction politique.
"Nous les anciens responsables de la FESCI, nous allons nous battre pour faire en sorte que tous nos amis anciens responsables exilés rentrent au pays afin de jouer leur rôle dans le cadre du développement de la Côte d’ivoire", a-t-il déclaré, annonçant que les anciens responsables de la FESCI résidant en Côte d’ivoire reprendront bientôt le flambeau de la lutte.
Créée en 1990, à la paroisse Sainte Famille de la Riviera 2, la FESCI est une association d’élèves et étudiants. Il est conduit actuellement par le secrétaire général, Fulgence Assi.
tg/sdaf/fmo
Selon l’enseignant chercheur à l’université Alassane Ouattara, "dans les années 90, il était question pour les étudiants ivoiriens de poser la question de démocratie pour que la Côte d’ Ivoire ait droit à la parole. Et c’est ce qui a favorisé l’avènement du multipartisme et la fin du parti unique, Parti démocratique de Côte d’Ivoire ».
«C’’est pourquoi le 21 avril 1990, date de création de la FESCI restera très mystique et mystérieuse » a-t-il ajouté.
Il s’exprimait lors de la célébration des 28 ans de la FESCI organisée au terrain du forum de l’université Félix Houphouët-Boigny de Cocody (Abidjan).
Pour lui, la FESCI est le seul mouvement d’élèves et étudiants très consciencieux et responsable dans l’histoire de la Côte d’ivoire à partir duquel les étudiants ont su poser les problèmes de société pour opérer des changements qualitatifs en vue de l’amélioration des conditions d’études et de vies des élèves et étudiants.
Raison pour laquelle, le tout premier secrétaire général de la Fesci, trouve inadmissible que des anciens secrétaires généraux de la FESCI soient en exil ou en prison pour leur conviction politique.
"Nous les anciens responsables de la FESCI, nous allons nous battre pour faire en sorte que tous nos amis anciens responsables exilés rentrent au pays afin de jouer leur rôle dans le cadre du développement de la Côte d’ivoire", a-t-il déclaré, annonçant que les anciens responsables de la FESCI résidant en Côte d’ivoire reprendront bientôt le flambeau de la lutte.
Créée en 1990, à la paroisse Sainte Famille de la Riviera 2, la FESCI est une association d’élèves et étudiants. Il est conduit actuellement par le secrétaire général, Fulgence Assi.
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