Faudrait-il encore rétribuer le policier ivoirien sur les fonds générés auprès du contribuable ? Ou faut-il ouvrir une régie de recettes sur les corridors dit de sécurité ou déplacer un agent du trésor derrière tout policier de l’unité de régulation de la circulation ou de contrôle de pièces de véhicules ?
Ces deux questions trouvent leur fondement dans un spectacle qui s’est déroulé ce dimanche au grand marché de Bouaké. Pas très loin du carrefour où a eu lieu le braquage de 14 millions FCFA au détriment de deux frères acheteurs de noix de cajou. Et l’on comprend aisément pourquoi, à visage découvert, ces deux larrons ont pu, sans dissimuler leur kalachnikov, soutirer avec une complicité évidente de l’une des victimes, la forte somme... suite de l'article sur Pôle Afrique
Ces deux questions trouvent leur fondement dans un spectacle qui s’est déroulé ce dimanche au grand marché de Bouaké. Pas très loin du carrefour où a eu lieu le braquage de 14 millions FCFA au détriment de deux frères acheteurs de noix de cajou. Et l’on comprend aisément pourquoi, à visage découvert, ces deux larrons ont pu, sans dissimuler leur kalachnikov, soutirer avec une complicité évidente de l’une des victimes, la forte somme... suite de l'article sur Pôle Afrique