Man- Prisée pour sa finesse et sa qualité, l’huile rouge de montagne est utilisée pour la confection de différents mets dans le Tonkpi et certaines localités de la Côte d’Ivoire. Dérivée de la graine de palme, sa vente est une activité rentable pour plusieurs femmes à Man.
«Je vends de l’huile rouge depuis cinq ans. Je m’approvisionne dans la commune de Logoualé et ses villages environnants. Elle n’a pas d’arrière goût. Mes fournisseuses obtiennent cette huile de qualité à partir de la graine de palme africaine Je fais la vente en gros comme en détail. Je m’en sors bien et cette activité me permet d’aider mon mari et de prendre soin de mes trois enfants dont l’ainée est en classe de troisième », fait savoir dame Oulaï Nina, assise derrière sa table au marché de Man.
A différents endroits de la ville, l’on rencontre ici et là de braves femmes avec des cuvettes sur la tête, vantant le mérite de leur produit. «Il y a huile rouge hein !! 1000 francs, 1200, 500 francs CFA, huile de qualité, payez sans regretter!! », entend-t-on régulièrement dans les 18 montagnes.
« Moi, je vends de l’huile rouge depuis 2010. Je ne me plains pas du tout avec ce commerce. Je vais chercher mon huile à Danané, Zouan Hounien, Bin Houyé et autres. Je commercialise le pot de 20 litres à 13.000 francs CFA et celui de 27 litres à 17.000 francs. La bouteille d’un litre et demi, je la propose actuellement à 1300 francs. L’huile des montagnes peut être gardée pendant plusieurs mois voire même un an sans que la qualité ne soit altérée », a expliqué fièrement la grossiste Koné Sara, à quelques encablures des magasins du marché de Man.
Assisse à côté, dame Fofana Mawa a affirmé pour sa part, faire ce commerce depuis presque six ans. Elle a ajouté que cette activité aide son mari et elle à scolariser quatre enfants. Les deux vendeuses ont soutenu avoir des clientes qui viennent de différentes villes de la Côte d’Ivoire dont Abidjan.
«Nous pouvons avoir 1500 à 2000 francs sur les pots de 20 à 27 litres. Nous donnons quelque fois à crédit à certaines de nos clientes qui revendent et ensuite nous repassons encaisser. Il y a des femmes qui ne payent pas leur crédit. Mais la plupart du temps tout se passe bien. Nous encourageons nos sœurs qui n’ont pas d’autre activité génératrice de revenus, à être patientes et courageuses pour faire ce commerce qui peut les aider à soutenir leurs familles », ont affirmé les deux amies.
amak/fmo
«Je vends de l’huile rouge depuis cinq ans. Je m’approvisionne dans la commune de Logoualé et ses villages environnants. Elle n’a pas d’arrière goût. Mes fournisseuses obtiennent cette huile de qualité à partir de la graine de palme africaine Je fais la vente en gros comme en détail. Je m’en sors bien et cette activité me permet d’aider mon mari et de prendre soin de mes trois enfants dont l’ainée est en classe de troisième », fait savoir dame Oulaï Nina, assise derrière sa table au marché de Man.
A différents endroits de la ville, l’on rencontre ici et là de braves femmes avec des cuvettes sur la tête, vantant le mérite de leur produit. «Il y a huile rouge hein !! 1000 francs, 1200, 500 francs CFA, huile de qualité, payez sans regretter!! », entend-t-on régulièrement dans les 18 montagnes.
« Moi, je vends de l’huile rouge depuis 2010. Je ne me plains pas du tout avec ce commerce. Je vais chercher mon huile à Danané, Zouan Hounien, Bin Houyé et autres. Je commercialise le pot de 20 litres à 13.000 francs CFA et celui de 27 litres à 17.000 francs. La bouteille d’un litre et demi, je la propose actuellement à 1300 francs. L’huile des montagnes peut être gardée pendant plusieurs mois voire même un an sans que la qualité ne soit altérée », a expliqué fièrement la grossiste Koné Sara, à quelques encablures des magasins du marché de Man.
Assisse à côté, dame Fofana Mawa a affirmé pour sa part, faire ce commerce depuis presque six ans. Elle a ajouté que cette activité aide son mari et elle à scolariser quatre enfants. Les deux vendeuses ont soutenu avoir des clientes qui viennent de différentes villes de la Côte d’Ivoire dont Abidjan.
«Nous pouvons avoir 1500 à 2000 francs sur les pots de 20 à 27 litres. Nous donnons quelque fois à crédit à certaines de nos clientes qui revendent et ensuite nous repassons encaisser. Il y a des femmes qui ne payent pas leur crédit. Mais la plupart du temps tout se passe bien. Nous encourageons nos sœurs qui n’ont pas d’autre activité génératrice de revenus, à être patientes et courageuses pour faire ce commerce qui peut les aider à soutenir leurs familles », ont affirmé les deux amies.
amak/fmo