Abidjan - Une réunion d’experts de deux jours sur les conflits entre éleveurs et agriculteurs s’est ouverte mardi à Abuja, au Nigeria, en présence de représentants des Etats membres de la CEDEAO, mais aussi de la Mauritanie, du Tchad et de la République centrafricaine.
Des experts en provenance de ces pays, aux côtés d’autres parties concernées, veulent réfléchir à des solutions au grand défi que représentent les conflits entre agriculteurs et éleveurs dans la région, en prélude à la réunion des ministres de la Sécurité et de ceux de l’Agriculture/des Ressources animales des Etats de la CEDEAO, prévue ce jeudi, rapporte un communiqué de presse de la Commission régionale.
Dans le discours qu’il a prononcé lors de la cérémonie d’ouverture de la réunion, le Commissaire à l’Agriculture, à l’Environnement et aux Ressources en eau de la Commission de la CEDEAO, Sékou Sangaré, a mis l’accent sur les facteurs complexes qui interviennent dans le conflit entre ces deux parties, avant de noter que le 21ème siècle exige une transformation structurelle continue des pratiques d’élevage.
« Le Nigeria est en première ligne dans la recherche d’une solution durable à cette situation déplorable » en raison des pertes colossales subies par la sous-région à cause des affrontements entre agriculteurs et éleveurs, a renchéri le secrétaire général du ministère de l’Intérieur du Nigeria, Dr. M. B. Umar.
Selon Dr. Umar a, il s’agit de veiller à la bonne gestion des déplacements du bétail, d’examiner de manière critique les différents règlements concernant la circulation des personnes et des biens, ainsi que de réviser les législations nationales en vigueur afin de les mettre en conformité avec le Protocole de la CEDEAO sur la Transhumance, concernant la documentation à obtenir pour la circulation du bétail au sein de la sous-région.
Les conclusions des travaux des experts vont être soumises aux ministres de la Sécurité, ainsi qu’à ceux de l’Agriculture/des Ressources animales, dont la réunion se tiendra ce jeudi à Abuja.
cmas
Des experts en provenance de ces pays, aux côtés d’autres parties concernées, veulent réfléchir à des solutions au grand défi que représentent les conflits entre agriculteurs et éleveurs dans la région, en prélude à la réunion des ministres de la Sécurité et de ceux de l’Agriculture/des Ressources animales des Etats de la CEDEAO, prévue ce jeudi, rapporte un communiqué de presse de la Commission régionale.
Dans le discours qu’il a prononcé lors de la cérémonie d’ouverture de la réunion, le Commissaire à l’Agriculture, à l’Environnement et aux Ressources en eau de la Commission de la CEDEAO, Sékou Sangaré, a mis l’accent sur les facteurs complexes qui interviennent dans le conflit entre ces deux parties, avant de noter que le 21ème siècle exige une transformation structurelle continue des pratiques d’élevage.
« Le Nigeria est en première ligne dans la recherche d’une solution durable à cette situation déplorable » en raison des pertes colossales subies par la sous-région à cause des affrontements entre agriculteurs et éleveurs, a renchéri le secrétaire général du ministère de l’Intérieur du Nigeria, Dr. M. B. Umar.
Selon Dr. Umar a, il s’agit de veiller à la bonne gestion des déplacements du bétail, d’examiner de manière critique les différents règlements concernant la circulation des personnes et des biens, ainsi que de réviser les législations nationales en vigueur afin de les mettre en conformité avec le Protocole de la CEDEAO sur la Transhumance, concernant la documentation à obtenir pour la circulation du bétail au sein de la sous-région.
Les conclusions des travaux des experts vont être soumises aux ministres de la Sécurité, ainsi qu’à ceux de l’Agriculture/des Ressources animales, dont la réunion se tiendra ce jeudi à Abuja.
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