Meknès (Maroc) – Dans la dynamique de renforcement du partenariat Sud-Sud, la Chambre nationale d’agriculture de Côte d’Ivoire (CNACI) et son homologue de la région de Casablanca Settat ont signé jeudi à Meknès, au Maroc, un protocole de partenariat d’une durée initiale d’un an.
Représentées par leur président respectif, à savoir Bamba Sindou et Abdelfattah Ammarn, ces chambres consulaires s’engagent ainsi à fixer les conditions de collaboration en vue d’enrichir le processus d’apprentissage réciproque entre les acteurs et de déceler de véritables opportunités d’affaires entre producteurs.
L’idée pour les deux parties signataires, c’est de maintenir une agriculture dynamique, innovante et durable sur le territoire des deux pays; d’unifier les efforts afin de soutenir la production agricole durable; de renforcer le partage des connaissances et enrichir le processus d’apprentissage réciproque entre les acteurs; et de se mettre d’accord et signer un contrat gagnant-gagnant nécessaire à la promotion de l’exportation des produits agricoles des deux pays.
Ce partenariat porte sur quatre grands axes, à savoir le Renforcement des capacités; la mise en pratique d’un accord gagnant-gagnant; la protection de l’environnement et le renforcement des liens d’amitié et culturels entre la République de Côte d’Ivoire et le Royaume du Maroc.
Au sortir de la cérémonie de signature du protocole organisée au stand de la Région Casablanca Settat au 13ème Salon international de l’agriculture au Maroc (SIAM 2018), le président Abdelfattah Ammarn s’est réjoui de ce partenariat gagnant - gagnant destiné à promouvoir les échanges entre pays africains.
Pour le président de la CNACI, ce partenariat est le prolongement de la coopération politique et diplomatique scellée par le Président Alassane Ouattara et le Roi Mohammed VI.
« Il nous appartient, à nous professionnels, d’être la colonne vertébrale de cette alliance (…), de tout mettre en œuvre pour qu’il y ait un boulevard entre le Maroc et la Côte d’Ivoire. Ce boulevard commence par le champ, à travers les expériences de techniques culturales, à travers le mouvement dans les deux sens de stagiaires… », a indiqué Bamba Sindou, précisant qu’il s’agit en fait d’un mariage à vie qui pourra à la longue connaître quelques aménagements, en cas de besoin.
cmas
Représentées par leur président respectif, à savoir Bamba Sindou et Abdelfattah Ammarn, ces chambres consulaires s’engagent ainsi à fixer les conditions de collaboration en vue d’enrichir le processus d’apprentissage réciproque entre les acteurs et de déceler de véritables opportunités d’affaires entre producteurs.
L’idée pour les deux parties signataires, c’est de maintenir une agriculture dynamique, innovante et durable sur le territoire des deux pays; d’unifier les efforts afin de soutenir la production agricole durable; de renforcer le partage des connaissances et enrichir le processus d’apprentissage réciproque entre les acteurs; et de se mettre d’accord et signer un contrat gagnant-gagnant nécessaire à la promotion de l’exportation des produits agricoles des deux pays.
Ce partenariat porte sur quatre grands axes, à savoir le Renforcement des capacités; la mise en pratique d’un accord gagnant-gagnant; la protection de l’environnement et le renforcement des liens d’amitié et culturels entre la République de Côte d’Ivoire et le Royaume du Maroc.
Au sortir de la cérémonie de signature du protocole organisée au stand de la Région Casablanca Settat au 13ème Salon international de l’agriculture au Maroc (SIAM 2018), le président Abdelfattah Ammarn s’est réjoui de ce partenariat gagnant - gagnant destiné à promouvoir les échanges entre pays africains.
Pour le président de la CNACI, ce partenariat est le prolongement de la coopération politique et diplomatique scellée par le Président Alassane Ouattara et le Roi Mohammed VI.
« Il nous appartient, à nous professionnels, d’être la colonne vertébrale de cette alliance (…), de tout mettre en œuvre pour qu’il y ait un boulevard entre le Maroc et la Côte d’Ivoire. Ce boulevard commence par le champ, à travers les expériences de techniques culturales, à travers le mouvement dans les deux sens de stagiaires… », a indiqué Bamba Sindou, précisant qu’il s’agit en fait d’un mariage à vie qui pourra à la longue connaître quelques aménagements, en cas de besoin.
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