Meknès (Maroc) – La présence du Conseil du café-cacao au 13ème Salon international de l’agriculture au Maroc (SIAM 2018) s’explique spécifiquement par l’engagement de la Côte d’Ivoire à relancer sa production de café.
Lors d’un entretien avec l’AIP jeudi à Meknès, au Maroc, le chef du service Communication, Relations publiques et Promotion de l’organe de régulation, de stabilisation et de développement de la filière café-cacao, Mme Dagnogo Mariam Coulibaly, a rappelé que la Côte d’Ivoire a initié un programme de relance caféière qui lui permettra d’accroître sa productivité.
« En même temps que nous travaillons à améliorer la productivité, nous voulons aussi travailler à réveiller les anciens marchés et les marchés potentiels, afin de pouvoir avoir du répondant en termes d’achat et d’exportation du café », a-t-elle poursuivi.
La responsable du service Communication a indiqué que le Maroc est l’un des pays qui importait énormément le Robusta de Côte d’Ivoire. Le volume des échanges est parti de plus de 200 T, depuis les années 2013, à quelque 55 T actuellement, à cause de l’insuffisance du produit.
Alors, souligne-t-elle, la présence du Conseil du café-cacao au SIAM 2018 vise aussi à rassurer les consommateurs du Royaume chérifien que la Côte d’Ivoire travaille à leur fournir le café qu’ils aiment tant. Un engouement visible à travers la forte demande des breuvages de café et de cacao chauds ainsi que du chocolat offerts aux visiteurs sur le stand.
« Le marché attend le Robusta de Côte d’Ivoire, le marché attend le cacao de Côte d’Ivoire », a relevé Mme Dagnogo. Elle a noté que l’organe de régulation de la filière s’emploie à la mise en relation entre les pays demandeurs et le pays producteur, annonçant, dans cette dynamique, l’arrivée du directeur général du Conseil du café-cacao, Yves Brahima Koné, au Maroc.
En Côte d’Ivoire, la production de café s’établit actuellement en moyenne à 110 000 tonnes par an, pour un objectif de 200 000 T à l’horizon 2020. Les cerises provenant du pays sont vendues majoritairement en Afrique, l’Algérie en tête, puis en l’Europe.
cmas
Lors d’un entretien avec l’AIP jeudi à Meknès, au Maroc, le chef du service Communication, Relations publiques et Promotion de l’organe de régulation, de stabilisation et de développement de la filière café-cacao, Mme Dagnogo Mariam Coulibaly, a rappelé que la Côte d’Ivoire a initié un programme de relance caféière qui lui permettra d’accroître sa productivité.
« En même temps que nous travaillons à améliorer la productivité, nous voulons aussi travailler à réveiller les anciens marchés et les marchés potentiels, afin de pouvoir avoir du répondant en termes d’achat et d’exportation du café », a-t-elle poursuivi.
La responsable du service Communication a indiqué que le Maroc est l’un des pays qui importait énormément le Robusta de Côte d’Ivoire. Le volume des échanges est parti de plus de 200 T, depuis les années 2013, à quelque 55 T actuellement, à cause de l’insuffisance du produit.
Alors, souligne-t-elle, la présence du Conseil du café-cacao au SIAM 2018 vise aussi à rassurer les consommateurs du Royaume chérifien que la Côte d’Ivoire travaille à leur fournir le café qu’ils aiment tant. Un engouement visible à travers la forte demande des breuvages de café et de cacao chauds ainsi que du chocolat offerts aux visiteurs sur le stand.
« Le marché attend le Robusta de Côte d’Ivoire, le marché attend le cacao de Côte d’Ivoire », a relevé Mme Dagnogo. Elle a noté que l’organe de régulation de la filière s’emploie à la mise en relation entre les pays demandeurs et le pays producteur, annonçant, dans cette dynamique, l’arrivée du directeur général du Conseil du café-cacao, Yves Brahima Koné, au Maroc.
En Côte d’Ivoire, la production de café s’établit actuellement en moyenne à 110 000 tonnes par an, pour un objectif de 200 000 T à l’horizon 2020. Les cerises provenant du pays sont vendues majoritairement en Afrique, l’Algérie en tête, puis en l’Europe.
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