Korhogo– Un atelier de lancement des activités de l’observatoire de recherche en environnement de Nambékaha (OREN), site d’étude scientifique des phénomènes environnementaux, s’est ouvert jeudi, à l’université Péléforo Gon Coulibaly (UPGC) de Korhogo, en présence des autorités locales et des partenaires des structures techniques concernées.
Des experts venus de la France, de l’Egypte, du Burkina Faso et des différentes universités ivoiriennes participent à cet atelier de deux jours, qui verra la tenue de la première réunion du comité scientifique chargé d’affiner les thématiques de recherche et d’actualiser la programmation des activités de la première année d’activité.
Mis en place dans le cadre du programme Appui à la modernisation et à la réforme des universités et grandes et écoles de Côte d’Ivoire (AMRUGE-CI2) l’OREN est un projet pilote financé par l’Agence française de développement (AFD) et bénéficiant de l’accompagnement de l’Institut (français) de recherche pour le développement (IRD).
Il vise à mettre à la disposition de la communauté scientifique, et particulièrement des enseignants-chercheurs de l’UPGC, un ensemble d’informations qui aident à la compréhension de l’écosystème local.
Le président de l’UPGC, Pr Coulibaly Adama, a décrit le site de Nambékaha comme étant un « écosystème particulier » formant « une mosaïque culture – savane – forêt claire relativement épargnée de la surexploitation » et réaffirmé l’ambition de la jeune université qu’il dirige d’apporter sa contribution à la recherche scientifique en Côte d’Ivoire.
Le Pr Coulibaly Adama a également exprimé l’ambition de valoriser cet écosystème en y développant l’écotourisme et en réhabilitant, au bénéfice de la population riveraine, 200 étangs piscicoles abandonnés sur place.
Les observatoires se sont imposés au fil des années comme un outil indispensable de recherche et de gestion maîtrisée de l’environnement sur le long terme, a-t-on appris, au lancement de cet atelier de deux jours.
La Côte d’Ivoire est à pied-œuvre pour en installer trois des plus importants pour elle. Le premier est le Centre national de calcul de la Côte d’Ivoire (CNC-CI) ou Observatoire de recherche en géomagnétique et métrologique de l’espace, lancé le 4 mai au Pôle scientifique d’Innovation de l’Université Félix Houphouët-Boigny. Le dernier sera l’Observatoire de recherche en océanographie côtière.
(AIP)
kaem/fmo
Des experts venus de la France, de l’Egypte, du Burkina Faso et des différentes universités ivoiriennes participent à cet atelier de deux jours, qui verra la tenue de la première réunion du comité scientifique chargé d’affiner les thématiques de recherche et d’actualiser la programmation des activités de la première année d’activité.
Mis en place dans le cadre du programme Appui à la modernisation et à la réforme des universités et grandes et écoles de Côte d’Ivoire (AMRUGE-CI2) l’OREN est un projet pilote financé par l’Agence française de développement (AFD) et bénéficiant de l’accompagnement de l’Institut (français) de recherche pour le développement (IRD).
Il vise à mettre à la disposition de la communauté scientifique, et particulièrement des enseignants-chercheurs de l’UPGC, un ensemble d’informations qui aident à la compréhension de l’écosystème local.
Le président de l’UPGC, Pr Coulibaly Adama, a décrit le site de Nambékaha comme étant un « écosystème particulier » formant « une mosaïque culture – savane – forêt claire relativement épargnée de la surexploitation » et réaffirmé l’ambition de la jeune université qu’il dirige d’apporter sa contribution à la recherche scientifique en Côte d’Ivoire.
Le Pr Coulibaly Adama a également exprimé l’ambition de valoriser cet écosystème en y développant l’écotourisme et en réhabilitant, au bénéfice de la population riveraine, 200 étangs piscicoles abandonnés sur place.
Les observatoires se sont imposés au fil des années comme un outil indispensable de recherche et de gestion maîtrisée de l’environnement sur le long terme, a-t-on appris, au lancement de cet atelier de deux jours.
La Côte d’Ivoire est à pied-œuvre pour en installer trois des plus importants pour elle. Le premier est le Centre national de calcul de la Côte d’Ivoire (CNC-CI) ou Observatoire de recherche en géomagnétique et métrologique de l’espace, lancé le 4 mai au Pôle scientifique d’Innovation de l’Université Félix Houphouët-Boigny. Le dernier sera l’Observatoire de recherche en océanographie côtière.
(AIP)
kaem/fmo
