ADDIS ABEBA - La secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Michaëlle Jean, s’est engagé vendredi à Addis-Abeba à coopérer avec l’Union africaine (UA) pour poursuivre ceux impliqués dans la vente aux enchères des migrants africains en Libye.
Le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, et la sécrétaire générale de l’OIF ont tenu le même jour des entretiens dans les locaux du siège de l’UA à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne.
Mme Jean a dit que de nombreux jeunes africains risquent leur vie en traversant des déserts et la mer Méditerranée à la recherche de meilleures opportunités à l’étranger.
Elle a indiqué que son organisation travaille en étroite collaboration avec l’UA pour s’attaquer aux causes profondes de la migration des jeunes africains.
"Nous devons nous attaquer aux causes profondes de ce problème : pourquoi ces jeunes quittent leur pays et, comme vous l’avez vu en Libye, comment ils ont été vendus dans le commerce des esclaves", a-t-elle expliqué.
La Libye souffre d’une guerre civile après la chute et la mort du leader Mouammar Kadhafi en 2011.
L’UA a été choquée par les reportages de novembre dernier sur la vente aux enchères des migrants africains en Libye en tant qu’esclaves, que l’UA a fermement condamné comme "des actes méprisables".
Un groupe de travail tripartite formé par l’UA, l’Union européenne (UE) et les Nations Unies (ONU) s’efforce de soutenir les migrants africains bloqués en Libye, tout en consolidant les efforts visant à démanteler les réseaux organisés de trafiquants d’êtres humains et de migrants.
"Nous recherchons les personnes qui ont été vendues et essayons de leur redonner leur dignité et leur statut humain afin qu’elles soient libres", a ajouté la secrétaire génrale de l’OIF.
Le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, et la sécrétaire générale de l’OIF ont tenu le même jour des entretiens dans les locaux du siège de l’UA à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne.
Mme Jean a dit que de nombreux jeunes africains risquent leur vie en traversant des déserts et la mer Méditerranée à la recherche de meilleures opportunités à l’étranger.
Elle a indiqué que son organisation travaille en étroite collaboration avec l’UA pour s’attaquer aux causes profondes de la migration des jeunes africains.
"Nous devons nous attaquer aux causes profondes de ce problème : pourquoi ces jeunes quittent leur pays et, comme vous l’avez vu en Libye, comment ils ont été vendus dans le commerce des esclaves", a-t-elle expliqué.
La Libye souffre d’une guerre civile après la chute et la mort du leader Mouammar Kadhafi en 2011.
L’UA a été choquée par les reportages de novembre dernier sur la vente aux enchères des migrants africains en Libye en tant qu’esclaves, que l’UA a fermement condamné comme "des actes méprisables".
Un groupe de travail tripartite formé par l’UA, l’Union européenne (UE) et les Nations Unies (ONU) s’efforce de soutenir les migrants africains bloqués en Libye, tout en consolidant les efforts visant à démanteler les réseaux organisés de trafiquants d’êtres humains et de migrants.
"Nous recherchons les personnes qui ont été vendues et essayons de leur redonner leur dignité et leur statut humain afin qu’elles soient libres", a ajouté la secrétaire génrale de l’OIF.