Dimbokro- Les employés de l'usine OLAM, spécialisée dans la transformation de la noix de cajou, ont entamé un mouvement de grève pour protester contre le non-paiement de leur salaire qui se fait par quinzaine, a constaté l'AIP, vendredi, à Dimbokro.
"Nous sommes des contractuels. Nous sommes payés par quinzaine. Nous devions percevoir nos salaires le 20 avril mais jusqu'à aujourd'hui (vendredi 28 avril), nous n'avons rien eu. Pendant que nous cherchons à comprendre ce retard, on apprend que nos salaires vont subir des réductions de moitié pour cause de surproduction, c'est à dire celui qui gagne 50 mille aura 25 mille FCFA" , a expliqué un des travailleurs journaliers.
Les responsables de RMO, une agence de placement de main-d’œuvre qui a recruté les 300 employés en majorité des femmes, ont minimisé ce débrayage, le mettant au compte d'un malentendu.
" Je suis en concertation. Dans une famille, il y peut avoir des petits problèmes. Donc cette affaire est juste un malentendu vite réglé" , a-t-il confié au téléphone. Mais jusqu'à la mi-journée de ce samedi, le travail n'avait pas encore repris.
ik/fmo
"Nous sommes des contractuels. Nous sommes payés par quinzaine. Nous devions percevoir nos salaires le 20 avril mais jusqu'à aujourd'hui (vendredi 28 avril), nous n'avons rien eu. Pendant que nous cherchons à comprendre ce retard, on apprend que nos salaires vont subir des réductions de moitié pour cause de surproduction, c'est à dire celui qui gagne 50 mille aura 25 mille FCFA" , a expliqué un des travailleurs journaliers.
Les responsables de RMO, une agence de placement de main-d’œuvre qui a recruté les 300 employés en majorité des femmes, ont minimisé ce débrayage, le mettant au compte d'un malentendu.
" Je suis en concertation. Dans une famille, il y peut avoir des petits problèmes. Donc cette affaire est juste un malentendu vite réglé" , a-t-il confié au téléphone. Mais jusqu'à la mi-journée de ce samedi, le travail n'avait pas encore repris.
ik/fmo