Les travailleurs de Yamoussoukro, autour des responsables locaux des quatre centrales syndicales (Ugt-Ci, Dignité, Humanisme et Unat-Ci), ont, d’une voix, dénoncé la cherté de la vie au plan national et fait des revendications pour la ville de Yamoussoukro, notamment un plan Marshall pour la capitale ivoirienne qui perd de son lustre d’antan.
De la cherté de la vie
« (…) Nous dénonçons la cherté sans cesse galopante de la vie qui plombe les revenus des travailleurs et demandons au gouvernement de prendre des mesures vigoureuses pour une réduction effective des coûts de l’électricité, de l’eau, du transport, des loyers, des vivriers », a martelé, Ouly Bamba au nom de ses pairs. Outre la cherté de la vie pointée du doigt, les responsables Bamba Nicaise (Ugt-Ci) ; Lobri Eric (Dignité) ; Ouly Bamba (Humanisme) et Dégny Yves (Unat-Ci) ont réclamé « une justice sociale réelle, la liberté vraie, le respect effectif des droits de l’Homme... Invitant leurs camarades à une mobilisation pour le mieux-être de tous les travailleurs.
Un plan Marshall pour Yamoussoukro
Au plan local, les responsables syndicaux ont plaidé pour un mieux-vivre à Yamoussoukro. Aussi, au nom de leurs camarades travailleurs locaux et au nom de toute la population de cette cité, réclament-ils la construction d’un marché de bétail, le renforcement de la sécurité pour contrer le phénomène d’enlèvement d’enfants. Vu la dégradation des voiries et autres structures de la capitale politique et administrative, les syndicalistes locaux réclament à l’Etat de Côte d’Ivoire un plan Marshall pour sa sauvegarde.
Les parrains prônent l’union
Voulant innover, les quatre centrales syndicales ont fait appel à deux parrains. Kouamé Eugène (Directeur régional de la Construction à Toumodi), a indiqué, d’entrée, « le parrainage de la fête du travail 2018 nous impose un devoir, celui de conseiller les responsables syndicaux pour ce qui est de leurs revendications. » « Vous avez divers objectifs mais l’objectif principal est le mieux-être des travailleurs. Vous vous êtes mis ensemble. C’est bien. Un pays ne peut avancer que dans l’union de ses enfants », s’est-il félicité. Quand le co-parrain Kouassi Kouamé Patrice (avocat et député Commune), il a recommandé à ses filleules travailleurs locaux que les centrales syndicales forment désormais un comité de suivi pour veiller à l’évolution du traitement de leurs revendications. « (…) Sinon, chaque année, vos revendications se feront mais n’aboutiront jamais », a-t-il tranché.
La revalorisation des salaires pour faire face à la cherté de la vie ; le reversement effectif à la Cnps (Caisse nationale de prévoyance sociale) des prélèvements effectués sur les salaires ont aussi meublé les allocutions des centrales syndicales.
Robert-Patrice Z. Une correspondance particulière à Yamoussoukro
De la cherté de la vie
« (…) Nous dénonçons la cherté sans cesse galopante de la vie qui plombe les revenus des travailleurs et demandons au gouvernement de prendre des mesures vigoureuses pour une réduction effective des coûts de l’électricité, de l’eau, du transport, des loyers, des vivriers », a martelé, Ouly Bamba au nom de ses pairs. Outre la cherté de la vie pointée du doigt, les responsables Bamba Nicaise (Ugt-Ci) ; Lobri Eric (Dignité) ; Ouly Bamba (Humanisme) et Dégny Yves (Unat-Ci) ont réclamé « une justice sociale réelle, la liberté vraie, le respect effectif des droits de l’Homme... Invitant leurs camarades à une mobilisation pour le mieux-être de tous les travailleurs.
Un plan Marshall pour Yamoussoukro
Au plan local, les responsables syndicaux ont plaidé pour un mieux-vivre à Yamoussoukro. Aussi, au nom de leurs camarades travailleurs locaux et au nom de toute la population de cette cité, réclament-ils la construction d’un marché de bétail, le renforcement de la sécurité pour contrer le phénomène d’enlèvement d’enfants. Vu la dégradation des voiries et autres structures de la capitale politique et administrative, les syndicalistes locaux réclament à l’Etat de Côte d’Ivoire un plan Marshall pour sa sauvegarde.
Les parrains prônent l’union
Voulant innover, les quatre centrales syndicales ont fait appel à deux parrains. Kouamé Eugène (Directeur régional de la Construction à Toumodi), a indiqué, d’entrée, « le parrainage de la fête du travail 2018 nous impose un devoir, celui de conseiller les responsables syndicaux pour ce qui est de leurs revendications. » « Vous avez divers objectifs mais l’objectif principal est le mieux-être des travailleurs. Vous vous êtes mis ensemble. C’est bien. Un pays ne peut avancer que dans l’union de ses enfants », s’est-il félicité. Quand le co-parrain Kouassi Kouamé Patrice (avocat et député Commune), il a recommandé à ses filleules travailleurs locaux que les centrales syndicales forment désormais un comité de suivi pour veiller à l’évolution du traitement de leurs revendications. « (…) Sinon, chaque année, vos revendications se feront mais n’aboutiront jamais », a-t-il tranché.
La revalorisation des salaires pour faire face à la cherté de la vie ; le reversement effectif à la Cnps (Caisse nationale de prévoyance sociale) des prélèvements effectués sur les salaires ont aussi meublé les allocutions des centrales syndicales.
Robert-Patrice Z. Une correspondance particulière à Yamoussoukro