Face aux travailleurs de Côte d’Ivoire ce mardi 1er mai, à l’occasion de la célébration de la fête du Travail, le président ivoirien, Alassane Ouattara a annoncé que sur 150 doléances émises au Gouvernement par les centrales syndicales de Côte d’Ivoire, 130 ont été satisfaites
’’Nous avons écouté les légitimes préoccupations des centrales syndicales. En réalité sur 150 points de doléances quasiment 130 ont été réglés’’, a affirmé Alassane Ouattara, se disant ’’surpris’’ que certaines de ces doléances déjà traitées et satisfaites soient reprises par les porte-paroles des centrales syndicales comme des points non encore réglés.
Il a invité les centrales syndicales à se mettre en rapport avec le Ministre de tutelle afin que les doléances non encore satisfaites fassent l’objet de discussions approfondies devant aboutir à leur satisfaction. ’’J’ai bien noté vos attentes pour 2018. Le Gouvernement ne ménagera aucun effort pour apporter des réponses appropriées’’, a promis le Chef de l’Etat.
Pour le président ivoirien, répondre aux doléances des travailleurs ’’garantit l’engagement du Gouvernement à œuvrer à l’amélioration des conditions de vie des concitoyens’’. Si beaucoup reste à faire, Alassane Ouattara salue toutefois les nombreux efforts consentis par le Gouvernement dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie et de travail des Ivoiriens. Ce sont 2 millions d’emplois qui ont ainsi été créés sur la période 2011-2016, a-t-il indiqué. Il est revenu sur les travaux entrepris dans le domaine de la santé avec le déblocage de 823 milliards en vue de rendre le système de santé plus performant. ’’le Gouvernement s’emploie à garantir à chaque Ivoirien et chaque Ivoirienne de meilleures conditions de travail’’, a dit le président Ouattara.
S’il admet le droit de revendiquer aux travailleurs, conformément à la loi, Alassane Ouattara a condamné toutefois les casses, les saccages et toutes formes de violences qu’il a qualifié de ’’sauvage et barbares’’. ’’Il faut arrêter les comportements de barbaries. Les libertés fondamentales doivent être préservées et contenues mais pas dans la barbarie’’,a martelé le chef de l’Etat Ivoirien.
Les responsables des centrales syndicales dans leur ensemble ont exigé du président de la République et de son Gouvernement d’oeuvrer à rendre ’’inclusive pour tous’’, la croissance économique. Ce d’autant plus que les voyants au niveau économique sont au vert.
Le chef de l’Etat était entouré de l’ensemble des membres du Gouvernement conduit par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly et des présidents d’institutions.
Elisée B.
’’Nous avons écouté les légitimes préoccupations des centrales syndicales. En réalité sur 150 points de doléances quasiment 130 ont été réglés’’, a affirmé Alassane Ouattara, se disant ’’surpris’’ que certaines de ces doléances déjà traitées et satisfaites soient reprises par les porte-paroles des centrales syndicales comme des points non encore réglés.
Il a invité les centrales syndicales à se mettre en rapport avec le Ministre de tutelle afin que les doléances non encore satisfaites fassent l’objet de discussions approfondies devant aboutir à leur satisfaction. ’’J’ai bien noté vos attentes pour 2018. Le Gouvernement ne ménagera aucun effort pour apporter des réponses appropriées’’, a promis le Chef de l’Etat.
Pour le président ivoirien, répondre aux doléances des travailleurs ’’garantit l’engagement du Gouvernement à œuvrer à l’amélioration des conditions de vie des concitoyens’’. Si beaucoup reste à faire, Alassane Ouattara salue toutefois les nombreux efforts consentis par le Gouvernement dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie et de travail des Ivoiriens. Ce sont 2 millions d’emplois qui ont ainsi été créés sur la période 2011-2016, a-t-il indiqué. Il est revenu sur les travaux entrepris dans le domaine de la santé avec le déblocage de 823 milliards en vue de rendre le système de santé plus performant. ’’le Gouvernement s’emploie à garantir à chaque Ivoirien et chaque Ivoirienne de meilleures conditions de travail’’, a dit le président Ouattara.
S’il admet le droit de revendiquer aux travailleurs, conformément à la loi, Alassane Ouattara a condamné toutefois les casses, les saccages et toutes formes de violences qu’il a qualifié de ’’sauvage et barbares’’. ’’Il faut arrêter les comportements de barbaries. Les libertés fondamentales doivent être préservées et contenues mais pas dans la barbarie’’,a martelé le chef de l’Etat Ivoirien.
Les responsables des centrales syndicales dans leur ensemble ont exigé du président de la République et de son Gouvernement d’oeuvrer à rendre ’’inclusive pour tous’’, la croissance économique. Ce d’autant plus que les voyants au niveau économique sont au vert.
Le chef de l’Etat était entouré de l’ensemble des membres du Gouvernement conduit par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly et des présidents d’institutions.
Elisée B.