Bouaké-Les différentes centrales syndicales intervenues à l’occasion de la fête du travail ont plaidé, mardi, à Bouaké, pour une intervention urgente du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, pour la relance des entreprises de la localité sinistrées par la décennie de crise et qui peinent à renaître de leurs cendres.
Le plaidoyer a été lancé successivement par les Centrales syndicales à savoir l'Union générale de travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI), Humanisme, la Fédération des syndicats autonomes de Côte d'Ivoire (FESACI) et Dignité qui déplorent les conditions de vie précaires des employés de ces entreprises frappés par le chômage techniques, le licenciement et victimes de plusieurs mois de salaires impayés.
Le secrétaire régional de l’UGTCI, Kouassi Germain et son homologue de la Fédération nationale des travailleurs du textile, du coton et de l’anacarde de Côte d’Ivoire (FENATTCA-CI), Sékongo Drissa, souhaitent que la promesse du Chef de l’Etat de relever ces entreprises soit mise en œuvre pour soulager les travailleurs de ces entreprises notamment, les établissements Robert Gonfreville, Olhéol Industrie, IFEXCI et FIBACO.
M. Sékongo demande la prise d’un décret d’interdiction de l’exportation de la fibre de coton et de la graine de coton à l’instar des pays limitrophes. Car, a-t-il expliqué, les usines de trituration telles qu’Olhéol Industrie et ses concurrents ainsi que les entreprises de filature connaissent des difficultés à cause de l’insuffisance de l’approvisionnement en fibre et graine de coton produites pourtant en quantité suffisante en Côte d’Ivoire.
Les personnels de ces entreprises ont défilé en bandeau rouge pour, disent-ils, exprimer leur mécontentement et inviter le gouvernement à prendre une mesure urgente pour sauver leurs emplois.
nbf/fmo
Le plaidoyer a été lancé successivement par les Centrales syndicales à savoir l'Union générale de travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI), Humanisme, la Fédération des syndicats autonomes de Côte d'Ivoire (FESACI) et Dignité qui déplorent les conditions de vie précaires des employés de ces entreprises frappés par le chômage techniques, le licenciement et victimes de plusieurs mois de salaires impayés.
Le secrétaire régional de l’UGTCI, Kouassi Germain et son homologue de la Fédération nationale des travailleurs du textile, du coton et de l’anacarde de Côte d’Ivoire (FENATTCA-CI), Sékongo Drissa, souhaitent que la promesse du Chef de l’Etat de relever ces entreprises soit mise en œuvre pour soulager les travailleurs de ces entreprises notamment, les établissements Robert Gonfreville, Olhéol Industrie, IFEXCI et FIBACO.
M. Sékongo demande la prise d’un décret d’interdiction de l’exportation de la fibre de coton et de la graine de coton à l’instar des pays limitrophes. Car, a-t-il expliqué, les usines de trituration telles qu’Olhéol Industrie et ses concurrents ainsi que les entreprises de filature connaissent des difficultés à cause de l’insuffisance de l’approvisionnement en fibre et graine de coton produites pourtant en quantité suffisante en Côte d’Ivoire.
Les personnels de ces entreprises ont défilé en bandeau rouge pour, disent-ils, exprimer leur mécontentement et inviter le gouvernement à prendre une mesure urgente pour sauver leurs emplois.
nbf/fmo