Bondoukou– Le porte-parole de la centrale syndicale « Humanisme », Coulibaly Adama a déploré la cherté de la vie "qui se pose avec acuité" à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo), lors de la célébration, mardi, de la fête du travail.
« A Bondoukou, le marché est très cher et les prix des denrées alimentaires de première nécessité sont exorbitants », a fait savoir Coulibaly Adama, indiquant que cette cherté de la vie menace la quiétude des familles.
S’exprimant sur les difficultés quotidiennes que rencontrent les travailleurs, le porte-parole de la centrale a évoqué les coupures intempestives d’électricité qui entraînent l’endommagement des appareils et le ralentissement ou l’arrêt des activités économiques de la ville.
« La conséquence majeure de ces coupures d’électricité est l’interruption quasi quotidienne de l’approvisionnement de nos ménages en eau potable, source de vie sans laquelle aucune activité n’est possible », a-t-il relevé.
Le porte-parole a néanmoins salué le gouvernement pour avoir engagé le dialogue social avec la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGEFCI) à propos de l’annexe fiscale au budget de l’Etat pour l’année 2018.
Plusieurs associations et formations syndicales ont participé à la fête du travail qui s’est déroulée à la préfecture.
zaar/fmo
« A Bondoukou, le marché est très cher et les prix des denrées alimentaires de première nécessité sont exorbitants », a fait savoir Coulibaly Adama, indiquant que cette cherté de la vie menace la quiétude des familles.
S’exprimant sur les difficultés quotidiennes que rencontrent les travailleurs, le porte-parole de la centrale a évoqué les coupures intempestives d’électricité qui entraînent l’endommagement des appareils et le ralentissement ou l’arrêt des activités économiques de la ville.
« La conséquence majeure de ces coupures d’électricité est l’interruption quasi quotidienne de l’approvisionnement de nos ménages en eau potable, source de vie sans laquelle aucune activité n’est possible », a-t-il relevé.
Le porte-parole a néanmoins salué le gouvernement pour avoir engagé le dialogue social avec la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGEFCI) à propos de l’annexe fiscale au budget de l’Etat pour l’année 2018.
Plusieurs associations et formations syndicales ont participé à la fête du travail qui s’est déroulée à la préfecture.
zaar/fmo