Dimbokro - La centrale syndicale Humanisme a plaidé pour l’amélioration de la qualité de l’eau et le désengorgement des salles de classes à Dimbokro, lors de la célébration mardi, de la fête du travail, à Dimbokro.
« Nous demandons l’amélioration de la qualité de l’eau servie aux populations par la construction de forages. Il faut également désengorger les salles des classes par la construction de nouveaux collèges notamment de collèges municipaux à Dimbokro », a plaidé le secrétaire général de l’organisation syndicale, Kramo Roméo.
Pour le premier responsable de cette structure syndicale qui est à sa première manifestation dans la localité, la centrale Humanisme compte se battre pour le respect des droits des travailleurs affiliés.
« Le secrétaire général national nous a mandaté de faire le point de la situation de l’UTEXCI afin de porter au plus haut niveau de l’Etat, les préoccupations des travailleurs », a fait savoir M. Kramo.
Il a exhorté les travailleurs de Dimbokro à faire confiance à « leur centrale ». Il a rappelé que la structure syndicale est à la base de la revalorisation du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), dont l’application par les entreprises de la région reste un défi auquel va s’attaquer Humanisme pour le bonheur des travailleurs.
ik/fmo
« Nous demandons l’amélioration de la qualité de l’eau servie aux populations par la construction de forages. Il faut également désengorger les salles des classes par la construction de nouveaux collèges notamment de collèges municipaux à Dimbokro », a plaidé le secrétaire général de l’organisation syndicale, Kramo Roméo.
Pour le premier responsable de cette structure syndicale qui est à sa première manifestation dans la localité, la centrale Humanisme compte se battre pour le respect des droits des travailleurs affiliés.
« Le secrétaire général national nous a mandaté de faire le point de la situation de l’UTEXCI afin de porter au plus haut niveau de l’Etat, les préoccupations des travailleurs », a fait savoir M. Kramo.
Il a exhorté les travailleurs de Dimbokro à faire confiance à « leur centrale ». Il a rappelé que la structure syndicale est à la base de la revalorisation du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), dont l’application par les entreprises de la région reste un défi auquel va s’attaquer Humanisme pour le bonheur des travailleurs.
ik/fmo