San Pedro– Les centrales syndicales représentées dans la région de San Pedro ont exigé la levée de tous les obstacles à l’expression des libertés syndicales dans les entreprises de la région, dans une résolution remise mardi, au préfet de région, à l’occasion de la célébration de la fête du travail.
« Il existe encore des entreprises en nombre considérable, où il est interdit de créer des syndicats d’entreprise » dans la région de San Pedro, ont déclaré les centrales syndicales de l'Union générale des travailleurs de Côte d'Ivoire (UGTCI), de Dignité, de la Fédération des syndicats autonomes de Côte d'Ivoire (FESACI), et de l'Union natioanale des travailleurs de Côte d'Ivoire (UNATRCI), dans une résolution commune.
Elles en appellent à la vigilance des autorités compétentes et demandent que le Directeur régional du travail et de la protection sociale s’active pour « prendre toutes les mesures idoines pour le strict respect de la liberté syndicale dans toutes les entreprises de la région de San Pedro ».
Les centrales syndicales ont souligné qu’entraver les libertés syndicales, garanties par les différents textes sur le travail, « c’est mettre en péril la paix sociale ».
Le préfet de région, Ousmane Coulibaly, a rassuré les syndicats et souligné que « le principe de la liberté syndicale et l’exercice de ce droit sont des réalités bien ancrées dans le droit positif et les relations de travail en Côte d’Ivoire », notamment dans le code du travail et la constitution.
Il a toutefois appelé au « renforcement du dialogue social » dans les entreprises, afin de préserver la paix sociale, indispensable à l’émergence visée par le gouvernement.
Les questions de la cherté de la vie et du respect du Smig ont été également soulevées par les syndicats.
jmk/fmo
« Il existe encore des entreprises en nombre considérable, où il est interdit de créer des syndicats d’entreprise » dans la région de San Pedro, ont déclaré les centrales syndicales de l'Union générale des travailleurs de Côte d'Ivoire (UGTCI), de Dignité, de la Fédération des syndicats autonomes de Côte d'Ivoire (FESACI), et de l'Union natioanale des travailleurs de Côte d'Ivoire (UNATRCI), dans une résolution commune.
Elles en appellent à la vigilance des autorités compétentes et demandent que le Directeur régional du travail et de la protection sociale s’active pour « prendre toutes les mesures idoines pour le strict respect de la liberté syndicale dans toutes les entreprises de la région de San Pedro ».
Les centrales syndicales ont souligné qu’entraver les libertés syndicales, garanties par les différents textes sur le travail, « c’est mettre en péril la paix sociale ».
Le préfet de région, Ousmane Coulibaly, a rassuré les syndicats et souligné que « le principe de la liberté syndicale et l’exercice de ce droit sont des réalités bien ancrées dans le droit positif et les relations de travail en Côte d’Ivoire », notamment dans le code du travail et la constitution.
Il a toutefois appelé au « renforcement du dialogue social » dans les entreprises, afin de préserver la paix sociale, indispensable à l’émergence visée par le gouvernement.
Les questions de la cherté de la vie et du respect du Smig ont été également soulevées par les syndicats.
jmk/fmo