L’hebdomadaire Nécrologie Côte d’Ivoire a eu un an. L’information a été donnée par la directrice générale Eynoux Ezia lors d’une conférence de presse qu’elle a animée le vendredi 27 avril 2018, à la maison de ma presse à Abidjan-Cocody.
Eynoux Ezia, directrice générale de Nécrologie Côte d’Ivoire, a dans ses propos donné les raisons qui l’ont motivée à mettre sur le marché un journal qui parle de ‘’mort’’. « Nous sommes des professionnels de la grande famille de la communication qui avions senti ce grand besoin de communiquer sur les évènements qui font l’actualité autour de la ’’mort’’. Sans vouloir être pessimistes, au journal Nécrologie Côte d’ivoire nous rendons compte des veillées funèbres, des cérémonies de levée de corps et d’inhumation. Des messes d’action de grâce, des anniversaires de décès, des cérémonies de 7e et 40e jours. Loin de vous, l’idée de vous servir la mort, nous faisons l’effort d’être plus proche de vous et des familles éplorées pour les accompagner en ouvrant les colonnes de notre journal à tous » a-t-elle indiqué. Poursuivant, elle a fait savoir que l’ambition de ‘’Nécrologie Côte d’Ivoire’’ est de révolutionner les lignes éditoriales. « Informer les familles sur les démarches à suivre pour l’établissement des documents d’actes de décès, savoir les formalités relatives en cas de décès d’un parent ou d’un proche sur les questions d’héritage et droit de succession. À travers ce journal vous avez l’opportunité de rendre hommage et de garder le souvenir de l’être proche décédé de manière subtile et intime » a-t-elle mentionné. Pratrice Yao, Président du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), a dans sa communication évoqué les difficultés que rencontre la presse ivoirienne. «Tenir un journal n’est pas du tout facile. Ceux qui sont dans le secteur depuis longtemps en savent davantage mais en tant qu’être humain et éditeurs nous avons foi. Depuis quelques temps nous avons constaté que plusieurs journaux ont disparu et on apprend que certains naissent, cela est un immense plaisir. Vous avez le soutien du GEPCI qui se tient à vos coté pour vous accompagner » a rassuré Patrice Yao.
M.O avec G.K
Eynoux Ezia, directrice générale de Nécrologie Côte d’Ivoire, a dans ses propos donné les raisons qui l’ont motivée à mettre sur le marché un journal qui parle de ‘’mort’’. « Nous sommes des professionnels de la grande famille de la communication qui avions senti ce grand besoin de communiquer sur les évènements qui font l’actualité autour de la ’’mort’’. Sans vouloir être pessimistes, au journal Nécrologie Côte d’ivoire nous rendons compte des veillées funèbres, des cérémonies de levée de corps et d’inhumation. Des messes d’action de grâce, des anniversaires de décès, des cérémonies de 7e et 40e jours. Loin de vous, l’idée de vous servir la mort, nous faisons l’effort d’être plus proche de vous et des familles éplorées pour les accompagner en ouvrant les colonnes de notre journal à tous » a-t-elle indiqué. Poursuivant, elle a fait savoir que l’ambition de ‘’Nécrologie Côte d’Ivoire’’ est de révolutionner les lignes éditoriales. « Informer les familles sur les démarches à suivre pour l’établissement des documents d’actes de décès, savoir les formalités relatives en cas de décès d’un parent ou d’un proche sur les questions d’héritage et droit de succession. À travers ce journal vous avez l’opportunité de rendre hommage et de garder le souvenir de l’être proche décédé de manière subtile et intime » a-t-elle mentionné. Pratrice Yao, Président du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), a dans sa communication évoqué les difficultés que rencontre la presse ivoirienne. «Tenir un journal n’est pas du tout facile. Ceux qui sont dans le secteur depuis longtemps en savent davantage mais en tant qu’être humain et éditeurs nous avons foi. Depuis quelques temps nous avons constaté que plusieurs journaux ont disparu et on apprend que certains naissent, cela est un immense plaisir. Vous avez le soutien du GEPCI qui se tient à vos coté pour vous accompagner » a rassuré Patrice Yao.
M.O avec G.K
