La direction départementale de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique de Tabou a organisé une campagne sur les grossesses en milieu scolaire dont les derniers chiffres livrés par les établissements secondaires de Tabou font état de 66 cas.
« Selon les dernières statistiques en notre possession, 32 cas de grossesses ont déjà été enregistrés au Lycée moderne Barou Adjehi Valentin de Tabou et 34 cas dans les trois établissements privés de la ville soit au total 66 cas de grossesses dans les établissements secondaires de Tabou à ce jour ", a déploré, jeudi, le directeur départemental, Sekana Doumbia.
Selon M. Doumbia, la vulnérabilité des adolescents et jeunes face aux grossesses précoces et au VIH/Sida demeure un défi majeur en matière de santé parce que les jeunes sont exposés aux informations à caractère pornographique et pédophile, ou bien ils sont acteurs eux-mêmes d’actes en lien avec la cybercriminalité et le proxénétisme.
« Cette situation induit le fait que ce sont les plus jeunes qui sont exposés. Pour preuve, la plupart des cas de grossesses enregistrés dans les établissements secondaires de Tabou concernent les jeunes filles dont l’âge se situe entre 13 et 17 ans, des classes de Sixième à la Quatrième », a-t-il ajouté.
Cette cérémonie a enregistré la participation des représentants de la mairie de Tabou, du complexe socio-éducatif, de la clinique juridique de San-pedro, du service de santé scolaire et de l’organisation humanitaire ASAPSU qui ont tous invité les élèves à un changement de mentalité.
bsb/cmas
« Selon les dernières statistiques en notre possession, 32 cas de grossesses ont déjà été enregistrés au Lycée moderne Barou Adjehi Valentin de Tabou et 34 cas dans les trois établissements privés de la ville soit au total 66 cas de grossesses dans les établissements secondaires de Tabou à ce jour ", a déploré, jeudi, le directeur départemental, Sekana Doumbia.
Selon M. Doumbia, la vulnérabilité des adolescents et jeunes face aux grossesses précoces et au VIH/Sida demeure un défi majeur en matière de santé parce que les jeunes sont exposés aux informations à caractère pornographique et pédophile, ou bien ils sont acteurs eux-mêmes d’actes en lien avec la cybercriminalité et le proxénétisme.
« Cette situation induit le fait que ce sont les plus jeunes qui sont exposés. Pour preuve, la plupart des cas de grossesses enregistrés dans les établissements secondaires de Tabou concernent les jeunes filles dont l’âge se situe entre 13 et 17 ans, des classes de Sixième à la Quatrième », a-t-il ajouté.
Cette cérémonie a enregistré la participation des représentants de la mairie de Tabou, du complexe socio-éducatif, de la clinique juridique de San-pedro, du service de santé scolaire et de l’organisation humanitaire ASAPSU qui ont tous invité les élèves à un changement de mentalité.
bsb/cmas