Les éditeurs de presse réunis au sein du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) ont exigé, mardi, à la société de distribution de journaux Edipresse, le paiement le paiement des ventes des mois de février, mars et avril 2018.
« Même si vous avez vendu en très faible quantité, donnez-nous le fruit de la vente de cette faible quantité d’autant plus que vous avez déjà retiré votre part », a lancé à l'endroit de la société de distribution Eugène Kadet, directeur général du Journal de l'Economie, cité par une note d’information transmise à APA.
Il ne s’agit pas d’une aide que les éditeurs demandent à Edipresse mais plutôt d’une restitution du fruit des supports qui ont été vendus, a précisé M. Kadet au cours d’une conférence de presse animée par le premier vice-président du Gepci, Ousmane Sy Savané.
Ce dernier a rappelé qu’Edipresse prélève 33% sur le montant que génèrent les quotidiens vendus et 35% sur les hebdomadaires. Il a par ailleurs rappelé que le dernier chèque de paiement reçu de la part d’Edipresse date du mois de Janvier.
« Cela signifie que nos ventes des mois de février, de mars et d’avril ne sont toujours pas reversées », a regretté M. Savané, énumérant les nombreuses dépenses auxquelles doivent faire face les éditeurs, notamment les salaires des employés, le fonctionnement de leur différente entreprise et les frais d’impression. Le vice-président du Gepci a également « déploré le fait qu'Edipresse n'ait pas donné de date précise pour le paiement de ces trois mois d'arriérés », conclut la note.
En novembre dernier, le Gepci, s’était plaint du système de distribution d’Edipresse (distributeur exclusif de la presse imprimée) à Abidjan et à l’intérieur du pays, affirmant que plusieurs localités ne sont ne pas pourvues.
LS/APA
« Même si vous avez vendu en très faible quantité, donnez-nous le fruit de la vente de cette faible quantité d’autant plus que vous avez déjà retiré votre part », a lancé à l'endroit de la société de distribution Eugène Kadet, directeur général du Journal de l'Economie, cité par une note d’information transmise à APA.
Il ne s’agit pas d’une aide que les éditeurs demandent à Edipresse mais plutôt d’une restitution du fruit des supports qui ont été vendus, a précisé M. Kadet au cours d’une conférence de presse animée par le premier vice-président du Gepci, Ousmane Sy Savané.
Ce dernier a rappelé qu’Edipresse prélève 33% sur le montant que génèrent les quotidiens vendus et 35% sur les hebdomadaires. Il a par ailleurs rappelé que le dernier chèque de paiement reçu de la part d’Edipresse date du mois de Janvier.
« Cela signifie que nos ventes des mois de février, de mars et d’avril ne sont toujours pas reversées », a regretté M. Savané, énumérant les nombreuses dépenses auxquelles doivent faire face les éditeurs, notamment les salaires des employés, le fonctionnement de leur différente entreprise et les frais d’impression. Le vice-président du Gepci a également « déploré le fait qu'Edipresse n'ait pas donné de date précise pour le paiement de ces trois mois d'arriérés », conclut la note.
En novembre dernier, le Gepci, s’était plaint du système de distribution d’Edipresse (distributeur exclusif de la presse imprimée) à Abidjan et à l’intérieur du pays, affirmant que plusieurs localités ne sont ne pas pourvues.
LS/APA