Abidjan- La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) a accueilli une session d‘échanges sur « La digitalisation des marchés de capitaux africains : le cas de M-AKIBA au Kenya » en collaboration avec Making finance work for Africa (MFW4A) de la Banque africaine de développement (BAD), mardi à son siège, à Abidjan.
Cette session, qui a vu la participation des acteurs des secteurs financiers et des télécommunications, s’est articulée autour d’une téléconférence, retransmise depuis Nairobi, et d’échanges sur les enjeux de la digitalisation des marchés de capitaux africains, rapporte un communiqué de presse de la BRVM.
La téléconférence, qui a permis de présenter le projet et de discuter des enseignements tirés du lancement du premier produit obligataire dénommé M-AKIBA, a été animée par les promoteurs de celui-ci, le Nairobi securities exchanges, le ministère kenyan des Finances et la Banque centrale du Kenya.
Les échanges qui s’en sont suivis avec les participants ont porté sur le potentiel de réplication et de développement de ce modèle sur d’autres marchés africains et notamment les prérequis de la digitalisation et ses répercussions pour le marché financier régional de l’UEMOA et son écosystème.
Le directeur général de la BRVM, Dr Edoh Kossi Amenounve, a indiqué que « l’expérience du Kenya avec M-AKIBA est un bel exemple sur lequel les autres bourses pourraient s’appuyer en prenant soin, évidemment de scruter, d’analyser, d’explorer les points forts et tirer enseignement des points faibles pour d’éventuelles améliorations ».
cmas
Cette session, qui a vu la participation des acteurs des secteurs financiers et des télécommunications, s’est articulée autour d’une téléconférence, retransmise depuis Nairobi, et d’échanges sur les enjeux de la digitalisation des marchés de capitaux africains, rapporte un communiqué de presse de la BRVM.
La téléconférence, qui a permis de présenter le projet et de discuter des enseignements tirés du lancement du premier produit obligataire dénommé M-AKIBA, a été animée par les promoteurs de celui-ci, le Nairobi securities exchanges, le ministère kenyan des Finances et la Banque centrale du Kenya.
Les échanges qui s’en sont suivis avec les participants ont porté sur le potentiel de réplication et de développement de ce modèle sur d’autres marchés africains et notamment les prérequis de la digitalisation et ses répercussions pour le marché financier régional de l’UEMOA et son écosystème.
Le directeur général de la BRVM, Dr Edoh Kossi Amenounve, a indiqué que « l’expérience du Kenya avec M-AKIBA est un bel exemple sur lequel les autres bourses pourraient s’appuyer en prenant soin, évidemment de scruter, d’analyser, d’explorer les points forts et tirer enseignement des points faibles pour d’éventuelles améliorations ».
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