Abidjan- Un atelier de dissémination de l’étude sur la production foncière pour l’habitat dans le District Autonome d’Abidjan, s’est tenu au Palm-club d’Abidjan-cocody en présence du ministre de la construction, du logement, de l’assainissement et de l’urbanisme (MCLAU), Claude Isaac Dé.
Procédant mardi à l’ouverture de la rencontre, le ministre Dé a souhaité que de ces échanges sorte un plan d’actions dont la mise en œuvre devra jouer un rôle catalyseur dans l’assainissement du secteur du foncier et partant, dans le développement économique et social de notre pays.
Isaac Dé a également rappelé aux participants la vision de son département ministériel se résumant à « plus de célérité, plus de sécurité et plus de diversité dans l’offre foncière en Côte d’Ivoire ».
Cette étude a été réalisée avec l’appui technique de la Banque mondiale au secteur de l’habitat et du foncier en Côte d’Ivoire. Selon le directeur des opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Pierre Laporte, l’objectif de cette étude est de faire « décoller » la production foncière en rationalisant les besoins et répartissant les rôles de façon plus cohérente.
Le ministre dit attendre de cet atelier de nouvelles orientations sur la question de l’architecture institutionnelle et réglementaire du secteur du foncier urbain en Côte d’Ivoire et la mobilisation des ressources pour le financement des opérations de production, d’aménagement et d’équipement des lots. Mais également la nécessaire sécurisation des investissements dans le domaine foncier.
Quelque 150 000 logements seront construits en cinq ans, soit 30 000 logements par an à partir de 2018, selon le gouvernement.
bsb/tm
Procédant mardi à l’ouverture de la rencontre, le ministre Dé a souhaité que de ces échanges sorte un plan d’actions dont la mise en œuvre devra jouer un rôle catalyseur dans l’assainissement du secteur du foncier et partant, dans le développement économique et social de notre pays.
Isaac Dé a également rappelé aux participants la vision de son département ministériel se résumant à « plus de célérité, plus de sécurité et plus de diversité dans l’offre foncière en Côte d’Ivoire ».
Cette étude a été réalisée avec l’appui technique de la Banque mondiale au secteur de l’habitat et du foncier en Côte d’Ivoire. Selon le directeur des opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Pierre Laporte, l’objectif de cette étude est de faire « décoller » la production foncière en rationalisant les besoins et répartissant les rôles de façon plus cohérente.
Le ministre dit attendre de cet atelier de nouvelles orientations sur la question de l’architecture institutionnelle et réglementaire du secteur du foncier urbain en Côte d’Ivoire et la mobilisation des ressources pour le financement des opérations de production, d’aménagement et d’équipement des lots. Mais également la nécessaire sécurisation des investissements dans le domaine foncier.
Quelque 150 000 logements seront construits en cinq ans, soit 30 000 logements par an à partir de 2018, selon le gouvernement.
bsb/tm
