Madinani– Le préfet du département de Madinani (Nord-Ouest, région du Kabadougou), Santou Dominique, a demandé mercredi aux élèves du Lycée moderne de surseoir à une manifestation qu'ils projettent pour vendredi, pour protester contre la suspension de cours à cause d’un bâtiment décoiffé.
L'administrateur civil leur a expliqué que cette manifestation sera inefficace. Il a toutefois rassuré les élèves de l’aide de certains établissements primaires pour la disponibilité de salles de classe, afin de terminer l’année scolaire "en beauté".
M. Santou a lancé cet appel au cours d’un entretien qu’il a eu mercredi avec le délégué des élèves, Sidi Moussa, après que ce dernier ait saisit l’administration pour manifester vendredi afin d’interpeller les autorités locales sur la situation de ces camarades privés de cours.
A la suite de l' entretien, le délégué accompagné des membres de son bureau a promis de rencontrer les autres élèves pour la transmission des solutions proposées par le préfet de département de Madinani.
Le Lycée moderne de Madinani qui compte plus de 1500 élèves, a eu un bâtiment décoiffé, des toitures au plafond, par le conseil régional depuis la veille des congés de février, sans aucune réhabilitation à ce jour.
mk/sdaf/cmas
L'administrateur civil leur a expliqué que cette manifestation sera inefficace. Il a toutefois rassuré les élèves de l’aide de certains établissements primaires pour la disponibilité de salles de classe, afin de terminer l’année scolaire "en beauté".
M. Santou a lancé cet appel au cours d’un entretien qu’il a eu mercredi avec le délégué des élèves, Sidi Moussa, après que ce dernier ait saisit l’administration pour manifester vendredi afin d’interpeller les autorités locales sur la situation de ces camarades privés de cours.
A la suite de l' entretien, le délégué accompagné des membres de son bureau a promis de rencontrer les autres élèves pour la transmission des solutions proposées par le préfet de département de Madinani.
Le Lycée moderne de Madinani qui compte plus de 1500 élèves, a eu un bâtiment décoiffé, des toitures au plafond, par le conseil régional depuis la veille des congés de février, sans aucune réhabilitation à ce jour.
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