Le groupe marocain Ciment de l’Afrique (Cimaf) a entrepris la construction d‘une cimenterie d’une capacité de 300.000 tonnes par an à Bouaké, une métropole du centre nord ivoirien, a annoncé vendredi à Abidjan son directeur général régional Khalid Iben Khayat, lors de la 1ère édition de La Nuit de l’entreprise marocaine en Côte d'Ivoire.
« L’usine de Bouaké est d’une capacité de 300.000 tonnes. Nous avons acquis le terrain et sommes en train de préparer les autorisations pour commencer la construction », a dit le directeur régional du groupe Khalid Iben Khayat, dans une allocution.
En novembre 2011, le groupe Cimaf a posé la première pierre de sa première usine en Côte d'Ivoire d’une capacité annuelle de 500.000 tonnes pour un investissement de 20 milliards Fcfa. Il a débuté ses activités en août 2013.
Sept ans après, Ciment de l’Afrique a investi plus de 80 milliards Fcfa en Côte d'Ivoire, où le groupe a doublé en avril 2016 la capacité de l’usine d’Abidjan pour passer de 500.000 tonnes à 1 million de tonnes par an.
En novembre 2017, il a démarré la construction de la deuxième usine à San-Pedro, dans le sud-ouest ivoirien, d’une capacité équivalente à 1 million de tonnes par an portant la capacité annuelle du groupe à 2 millions de tonnes par an.
Ciment de l’Afrique, à l’instar de plusieurs entreprises marocaines, installées dans le pays après la décennie de crise politique qu'a connue la Côte d'Ivoire, est un symbole d’une coopération sud-Sud réussie.
L’usine de San-Pedro, érigée dans la zone portuaire, a une capacité de 1 million de tonnes avec un investissement de 35 milliards Fcfa. Bouaké accueillera la troisième usine du groupe qui est présent dans dix pays en Afrique.
Cimaf a ouvert un chantier en Guinée-Bissau pour la construction de la 11ème usine sur le continent. L’expansion en Afrique du groupe devrait l’amener à s’installer bientôt en Tanzanie, en République démocratique du Congo (RDC) et en Angola.
La Nuit de l’entreprise marocaine en Côte d'Ivoire est une cérémonie qui célèbre le dynamisme des relations entre la Côte d'Ivoire et le Royaume du Maroc. Le groupe a reçu à l’occasion de cette première édition le Prix des grandes entreprises.
AP/ls/APA
« L’usine de Bouaké est d’une capacité de 300.000 tonnes. Nous avons acquis le terrain et sommes en train de préparer les autorisations pour commencer la construction », a dit le directeur régional du groupe Khalid Iben Khayat, dans une allocution.
En novembre 2011, le groupe Cimaf a posé la première pierre de sa première usine en Côte d'Ivoire d’une capacité annuelle de 500.000 tonnes pour un investissement de 20 milliards Fcfa. Il a débuté ses activités en août 2013.
Sept ans après, Ciment de l’Afrique a investi plus de 80 milliards Fcfa en Côte d'Ivoire, où le groupe a doublé en avril 2016 la capacité de l’usine d’Abidjan pour passer de 500.000 tonnes à 1 million de tonnes par an.
En novembre 2017, il a démarré la construction de la deuxième usine à San-Pedro, dans le sud-ouest ivoirien, d’une capacité équivalente à 1 million de tonnes par an portant la capacité annuelle du groupe à 2 millions de tonnes par an.
Ciment de l’Afrique, à l’instar de plusieurs entreprises marocaines, installées dans le pays après la décennie de crise politique qu'a connue la Côte d'Ivoire, est un symbole d’une coopération sud-Sud réussie.
L’usine de San-Pedro, érigée dans la zone portuaire, a une capacité de 1 million de tonnes avec un investissement de 35 milliards Fcfa. Bouaké accueillera la troisième usine du groupe qui est présent dans dix pays en Afrique.
Cimaf a ouvert un chantier en Guinée-Bissau pour la construction de la 11ème usine sur le continent. L’expansion en Afrique du groupe devrait l’amener à s’installer bientôt en Tanzanie, en République démocratique du Congo (RDC) et en Angola.
La Nuit de l’entreprise marocaine en Côte d'Ivoire est une cérémonie qui célèbre le dynamisme des relations entre la Côte d'Ivoire et le Royaume du Maroc. Le groupe a reçu à l’occasion de cette première édition le Prix des grandes entreprises.
AP/ls/APA