Le rideau est tombé, mercredi à Abidjan, sur le colloque sino-africain avec des « propositions pour approfondir le partenariat » entre le continent et le géant asiatique.
Selon la ministre ivoirienne du Plan et du Développement, Nialé Kaba, qui a présidé la cérémonie de clôture, après « deux jours d’intenses travaux », le colloque recommande que « l’Afrique dans une démarche proactive, investisse les différentes sphères légales, fiscales, financières et diplomatiques pour nouer des partenariats bénéfiques et des acquis durables ».
Le colloque, a poursuivi Mme Kaba, a également confirmé la présence de la Chine comme un partenaire de premier plan, précisant que « les échanges ont confirmé l’intérêt du partenaire chinois à prendre en compte les recommandations pour nouer un partenariat mutuellement bénéfique ».
« L’identification des risques liés aux défenses fiscales et sécuritaires sur les investissements, le développement de pôles industriels comme moteur de l’industrialisation, l’amélioration des échanges commerciaux… », a cité, entre autres recommandations, la ministre Nialé Kaba.
Selon elle, le potentiel de croissance de l’Afrique et son dynamisme économique augurent des opportunités d’investissement.
Et le partenariat avec la Chine qui favorise « la transformation locale des produits de base, le transfert des technologies et le développement du capital humain, le financement de la construction des infrastructures, ports, aéroports, voies ferroviaires… à travers des partenariats publics-privés », capital pour le continent.
A ce propos, l’Ambassadeur de la Chine en Côte d’Ivoire, Tang Wiebin, a relevé que « les discussions de deux jours ont montré que les Africains sont de plus en plus confiants de la nécessité d’établir des partenariats gagnants-gagnants avec tous les partenaires, en particulier avec la Chine ».
Le diplomate chinois a insisté que son pays continuera à jouer le rôle de partenaire principal, invitant, cependant, les pays africains à « réduire leur dépendance vis-à-vis des dettes souveraines » et à explorer davantage « les émissions de bons obligataires sur les marchés nationaux ».
Les conclusions et recommandations du colloque d’Abidjan seront versées aux travaux de la prochaine conférence sino- africaine prévue en septembre prochain à Beijing, a rassuré M. Wiebin.
HS/ls
Selon la ministre ivoirienne du Plan et du Développement, Nialé Kaba, qui a présidé la cérémonie de clôture, après « deux jours d’intenses travaux », le colloque recommande que « l’Afrique dans une démarche proactive, investisse les différentes sphères légales, fiscales, financières et diplomatiques pour nouer des partenariats bénéfiques et des acquis durables ».
Le colloque, a poursuivi Mme Kaba, a également confirmé la présence de la Chine comme un partenaire de premier plan, précisant que « les échanges ont confirmé l’intérêt du partenaire chinois à prendre en compte les recommandations pour nouer un partenariat mutuellement bénéfique ».
« L’identification des risques liés aux défenses fiscales et sécuritaires sur les investissements, le développement de pôles industriels comme moteur de l’industrialisation, l’amélioration des échanges commerciaux… », a cité, entre autres recommandations, la ministre Nialé Kaba.
Selon elle, le potentiel de croissance de l’Afrique et son dynamisme économique augurent des opportunités d’investissement.
Et le partenariat avec la Chine qui favorise « la transformation locale des produits de base, le transfert des technologies et le développement du capital humain, le financement de la construction des infrastructures, ports, aéroports, voies ferroviaires… à travers des partenariats publics-privés », capital pour le continent.
A ce propos, l’Ambassadeur de la Chine en Côte d’Ivoire, Tang Wiebin, a relevé que « les discussions de deux jours ont montré que les Africains sont de plus en plus confiants de la nécessité d’établir des partenariats gagnants-gagnants avec tous les partenaires, en particulier avec la Chine ».
Le diplomate chinois a insisté que son pays continuera à jouer le rôle de partenaire principal, invitant, cependant, les pays africains à « réduire leur dépendance vis-à-vis des dettes souveraines » et à explorer davantage « les émissions de bons obligataires sur les marchés nationaux ».
Les conclusions et recommandations du colloque d’Abidjan seront versées aux travaux de la prochaine conférence sino- africaine prévue en septembre prochain à Beijing, a rassuré M. Wiebin.
HS/ls