Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Port autonome d’Abidjan traite annuellement plus de 2 millions de tonnes de marchandises pour les pays de l’hinterland depuis ces trois dernières années, indique un document consulté par APA.
La plateforme portuaire d’Abidjan, un maillon essentiel de la chaîne logistique ouest-africaine, est notamment sollicitée par le Burkina Faso, le Mali et le Niger, des États qui ne disposent pas de façade maritime.
Le trafic en transit de ces pays bénéficie de conditions tarifaires et fiscales très favorables. Les opérateurs ont, entre autres, un abattement de 30% sur les redevances portuaires des marchandises en transit non conteneurisées et une exonération des taxes fiscales intérieures.
Des facilités domaniales sont également offertes aux opérateurs de ces pays via la mise à disposition de terrains, d’espaces aménagés, de magasins et de terre-pleins en zone sous douanes en vue de créer un cadre propice au deve9de leurs activités.
Le Burkina Faso enregistre un trafic en transit plus important au niveau des pays de l’hinterland avec 1,154 millions de tonnes de marchandises en 2017 contre 1,196 millions en 2016 et 1,426 millions en 2015, devant le Mali qui affiche 821.149 tonnes en 2017 contre 710.285 tonnes en 2016 et 838.666 en 2015.
Le Niger, lui, affiche un trafic en transit de 6.107 tonnes de marchandises en 2017 contre 18.888 tonnes en 2016 et 14.509 tonnes en 2015. Les pays côtiers ont également sollicité le port d’Abidjan pour un trafic de 44.575 tonnes en 2017 contre 41.455 en 2016 et 14.509 en 2015.
Le total transit donne pour l’année 2017 un trafic marchandises de 2.026.220 contre 1.967.115 en 2016 et 2.324.652 tonnes en 2015.
Le poids du port d’Abidjan dans l’économie nationale représente 76% des échanges extérieurs de la Côte d'Ivoire, 73% des recettes douanières et 60% des grandes industries du pays. Le pays ambitionne de se positionner comme le port leader en termes de trafic sur la façade Atlantique de l’Afrique.
Leader de la côte ouest africaine pour le volume de marchandises traitées avec 22,550 millions de tonnes en 2017 contre 21,734 millions en 2016, le port autonome d’Abidjan se positionne comme un hub port de référence sur le continent.
AP/ls
La plateforme portuaire d’Abidjan, un maillon essentiel de la chaîne logistique ouest-africaine, est notamment sollicitée par le Burkina Faso, le Mali et le Niger, des États qui ne disposent pas de façade maritime.
Le trafic en transit de ces pays bénéficie de conditions tarifaires et fiscales très favorables. Les opérateurs ont, entre autres, un abattement de 30% sur les redevances portuaires des marchandises en transit non conteneurisées et une exonération des taxes fiscales intérieures.
Des facilités domaniales sont également offertes aux opérateurs de ces pays via la mise à disposition de terrains, d’espaces aménagés, de magasins et de terre-pleins en zone sous douanes en vue de créer un cadre propice au deve9de leurs activités.
Le Burkina Faso enregistre un trafic en transit plus important au niveau des pays de l’hinterland avec 1,154 millions de tonnes de marchandises en 2017 contre 1,196 millions en 2016 et 1,426 millions en 2015, devant le Mali qui affiche 821.149 tonnes en 2017 contre 710.285 tonnes en 2016 et 838.666 en 2015.
Le Niger, lui, affiche un trafic en transit de 6.107 tonnes de marchandises en 2017 contre 18.888 tonnes en 2016 et 14.509 tonnes en 2015. Les pays côtiers ont également sollicité le port d’Abidjan pour un trafic de 44.575 tonnes en 2017 contre 41.455 en 2016 et 14.509 en 2015.
Le total transit donne pour l’année 2017 un trafic marchandises de 2.026.220 contre 1.967.115 en 2016 et 2.324.652 tonnes en 2015.
Le poids du port d’Abidjan dans l’économie nationale représente 76% des échanges extérieurs de la Côte d'Ivoire, 73% des recettes douanières et 60% des grandes industries du pays. Le pays ambitionne de se positionner comme le port leader en termes de trafic sur la façade Atlantique de l’Afrique.
Leader de la côte ouest africaine pour le volume de marchandises traitées avec 22,550 millions de tonnes en 2017 contre 21,734 millions en 2016, le port autonome d’Abidjan se positionne comme un hub port de référence sur le continent.
AP/ls