Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le mois de jeûne de Ramadan constitue une occasion de grande solidarité en Côte d’Ivoire où chaque soir, au coucher du soleil, après plusieurs heures de privation, les fidèles se retrouvent en groupe pour la rupture.
Dans la commune populaire d'Abobo au Nord d'Abidjan, l'apothéose de la journée de jeûne est marquée par une rupture collective dans plusieurs mosquées où riches et pauvres, jeunes et vieux, partagent ensemble des beignets, de la bouillie, des jus de fruits ou même des «plats de résistance».
«Chaque année, pendant le jeûne du mois de ramadan, nous organisons chaque soir une rupture collective du jeûne. Il n'est fait obligation à aucun fidèle de contribuer financièrement à cette rupture collective si sa bourse ne lui permet pas», a confié à APA Daouda Dembélé, un fidèle d'une «petite mosquée» à Abobo-Centre.
«Le mois de ramadan est un grand moment de partage et de solidarité. Donc, tous ceux qui désirent venir partager ce que nous mangeons à l'heure de la rupture sont les bienvenus », ajoute-t-il.
Comme cette mosquée d'Abobo-centre, la rupture collective du jeûne est organisée dans plusieurs mosquées en soutien aux fidèles économiquement faibles. Hormis les mosquées, plusieurs fidèles musulmans choisissent de rompre le jeûne chez eux à domicile avec leur famille. Chez la famille Traoré à Abobo-belle cité, le premier jour de rupture du jeûne avait une allure festive, au regard de la joie des enfants Traoré.
Ces derniers, bien que n'ayant pas jeûné comme leurs parents, ont été les premiers à déguster tous les mets et autres jus de fruits concoctés pour la rupture. La communauté musulmane ivoirienne a entamé mercredi le jeûne du mois de ramadan qui est le quatrième pilier de l'islam.
La période du ramadan qui a vu la révélation du Saint Coran au prophète Mohammed (Paix et salut d'Allah sur lui), est un mois de grande générosité, de solidarité et de partage. Durant ce mois de jeûne du ramadan, les musulmans restent à jeûn de l'aube au coucher du soleil pendant 29 ou 30 jours. Par ailleurs, ils doivent s'abstenir d'avoir des rapports sexuels avec leur époux ou épouse dans la journée.
LB/ls
Dans la commune populaire d'Abobo au Nord d'Abidjan, l'apothéose de la journée de jeûne est marquée par une rupture collective dans plusieurs mosquées où riches et pauvres, jeunes et vieux, partagent ensemble des beignets, de la bouillie, des jus de fruits ou même des «plats de résistance».
«Chaque année, pendant le jeûne du mois de ramadan, nous organisons chaque soir une rupture collective du jeûne. Il n'est fait obligation à aucun fidèle de contribuer financièrement à cette rupture collective si sa bourse ne lui permet pas», a confié à APA Daouda Dembélé, un fidèle d'une «petite mosquée» à Abobo-Centre.
«Le mois de ramadan est un grand moment de partage et de solidarité. Donc, tous ceux qui désirent venir partager ce que nous mangeons à l'heure de la rupture sont les bienvenus », ajoute-t-il.
Comme cette mosquée d'Abobo-centre, la rupture collective du jeûne est organisée dans plusieurs mosquées en soutien aux fidèles économiquement faibles. Hormis les mosquées, plusieurs fidèles musulmans choisissent de rompre le jeûne chez eux à domicile avec leur famille. Chez la famille Traoré à Abobo-belle cité, le premier jour de rupture du jeûne avait une allure festive, au regard de la joie des enfants Traoré.
Ces derniers, bien que n'ayant pas jeûné comme leurs parents, ont été les premiers à déguster tous les mets et autres jus de fruits concoctés pour la rupture. La communauté musulmane ivoirienne a entamé mercredi le jeûne du mois de ramadan qui est le quatrième pilier de l'islam.
La période du ramadan qui a vu la révélation du Saint Coran au prophète Mohammed (Paix et salut d'Allah sur lui), est un mois de grande générosité, de solidarité et de partage. Durant ce mois de jeûne du ramadan, les musulmans restent à jeûn de l'aube au coucher du soleil pendant 29 ou 30 jours. Par ailleurs, ils doivent s'abstenir d'avoir des rapports sexuels avec leur époux ou épouse dans la journée.
LB/ls