ABIDJAN - Le président du Mouvement pour la promotion des valeurs nouvelles en Côte d’Ivoire (MVCI), Félicien Sekongo, par ailleurs conseiller de Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale, a accusé dimanche le gouvernement ivoirien de manquer de “politique réelle’’ pour mener le processus d’indentification qui “piétine’’ encore, à deux ans de la prochaine élection présidentielle.
“Sous le régime’’ du chef de l’Etat Alassane Ouattara, “l’identification piétine : manque d’une politique réelle d’identification caractérisée par l’incapacité de l’ONI (Office nationale de l’Identification) à fournir des pièces d’identité, le coût trop élevé, les tracasseries multiples dans la quête d’une carte d’identité’’, a dénoncé M. Sekongo, président du MVCI, mouvement politique proche de M. Soro, dans un communiqué.
A deux ans du prochain scrutin présidentiel et avant les élections municipales et régionales qui devraient se tenir avant fin 2018, le MVCI dit observer “que Ouattara, défenseur hier de la question de l’identité (…) ne montre aucune volonté politique réelle pour une identification réussie’’.
Abordant la question de la Commission électorale indépendante (CEI), dont l’opposition réclame avec insistance la réforme, M. Sekongo juge “caduque’’ le mandat de son président Youssouf Bakakoyo, qui selon lui, “a expiré en 2016’’.
En plus d’accuser M. Ouattara de fouler “aux pieds les principes élémentaires de la démocratie’’, il dénonce une CEI “caporalisée’’ par le pouvoir qui “ne rencontre pas l’adhésion des acteurs politiques’’.
Tout en exigeant “la mise en place d’une nouvelle CEI consensuelle et véritablement indépendante’’ et “ d’une véritable politique d’identification’’, le MVCI appelle “tous les partis politiques à (une) action concertée, pour la remise en selle du processus démocratique pris en otage par le régime Ouattara’’.
SKO
“Sous le régime’’ du chef de l’Etat Alassane Ouattara, “l’identification piétine : manque d’une politique réelle d’identification caractérisée par l’incapacité de l’ONI (Office nationale de l’Identification) à fournir des pièces d’identité, le coût trop élevé, les tracasseries multiples dans la quête d’une carte d’identité’’, a dénoncé M. Sekongo, président du MVCI, mouvement politique proche de M. Soro, dans un communiqué.
A deux ans du prochain scrutin présidentiel et avant les élections municipales et régionales qui devraient se tenir avant fin 2018, le MVCI dit observer “que Ouattara, défenseur hier de la question de l’identité (…) ne montre aucune volonté politique réelle pour une identification réussie’’.
Abordant la question de la Commission électorale indépendante (CEI), dont l’opposition réclame avec insistance la réforme, M. Sekongo juge “caduque’’ le mandat de son président Youssouf Bakakoyo, qui selon lui, “a expiré en 2016’’.
En plus d’accuser M. Ouattara de fouler “aux pieds les principes élémentaires de la démocratie’’, il dénonce une CEI “caporalisée’’ par le pouvoir qui “ne rencontre pas l’adhésion des acteurs politiques’’.
Tout en exigeant “la mise en place d’une nouvelle CEI consensuelle et véritablement indépendante’’ et “ d’une véritable politique d’identification’’, le MVCI appelle “tous les partis politiques à (une) action concertée, pour la remise en selle du processus démocratique pris en otage par le régime Ouattara’’.
SKO