Le mouvement politique ivoirien d’opposition, "L@ nouvelle Côte d’Ivoire", fondé par l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur, Gnamien Konan a indiqué mercredi avoir porté plainte à la police de Bouaké (Centre ivoirien), où des hommes armés ont "attaqué" samedi nuit le domicile de son président.
"Dans la nuit de samedi à dimanche, un commando puissamment armé s’est attaqué à la résidence de Bouaké de Gnamien Konan. Le commando a d’abord maîtrisé le vigile, puis défoncé l’accès principal, avant de lui intimer l’ordre d’indiquer la pièce où se trouve Gnamien Konan", a expliqué "L@ nouvelle Côte d’Ivoire", dans une note.
"Fort heureusement, Gnamien Konan n’y était pas", précise le document.
L’ex-ministre qui a "visiblement échappé à quelque chose de grave", selon son mouvement politique, "est sous le choc de cette attaque", a affirmé son service communication à ALERTE INFO, ajoutant avoir "déposé une plainte régulière auprès des autorités policières de Bouaké".
Fin avril, lors du lancement de "L@ nouvelle Côte d’Ivoire", Gnamien Konan qui avait fortement dénoncé "la corruption en Côte d’Ivoire" a souhaité, que soit "supprimé le Fonds de souveraineté" de l’Etat ivoirien, estimant que ce budget voile "une corruption".
"Quand on qualifie un Etat de corrompu, c’est que les dirigeants de cet Etat sont corrompus", avait-il dit, arguant que "le Fonds de souveraineté, prétexte d’enrichissement" illégal des dirigeants en Côte d’Ivoire "doit être supprimé" et tous les aspirants à la présidence de la République "déclarer désormais leurs biens, avant" l’exercice du pouvoir.
"Si les auteurs de cette attaque (de Bouaké) entendaient faire taire Gnamien Konan, c’est peine perdue", a écrit son mouvement, estimant que la "détermination (de son président) à dénoncer et à éradiquer la corruption reste intacte".
En plus de "dénoncer et de condamner l’attaque du domicile de son président", "L@ nouvelle Côte d’Ivoire" a "déploré l’insécurité généralisée dans le pays" et "invité le gouvernement à prendre toutes les dispositions appropriées pour assurer la sécurité des populations, de leurs biens en général et des hommes politiques de tous bords en particulier".
Ange TIEMOKO
"Dans la nuit de samedi à dimanche, un commando puissamment armé s’est attaqué à la résidence de Bouaké de Gnamien Konan. Le commando a d’abord maîtrisé le vigile, puis défoncé l’accès principal, avant de lui intimer l’ordre d’indiquer la pièce où se trouve Gnamien Konan", a expliqué "L@ nouvelle Côte d’Ivoire", dans une note.
"Fort heureusement, Gnamien Konan n’y était pas", précise le document.
L’ex-ministre qui a "visiblement échappé à quelque chose de grave", selon son mouvement politique, "est sous le choc de cette attaque", a affirmé son service communication à ALERTE INFO, ajoutant avoir "déposé une plainte régulière auprès des autorités policières de Bouaké".
Fin avril, lors du lancement de "L@ nouvelle Côte d’Ivoire", Gnamien Konan qui avait fortement dénoncé "la corruption en Côte d’Ivoire" a souhaité, que soit "supprimé le Fonds de souveraineté" de l’Etat ivoirien, estimant que ce budget voile "une corruption".
"Quand on qualifie un Etat de corrompu, c’est que les dirigeants de cet Etat sont corrompus", avait-il dit, arguant que "le Fonds de souveraineté, prétexte d’enrichissement" illégal des dirigeants en Côte d’Ivoire "doit être supprimé" et tous les aspirants à la présidence de la République "déclarer désormais leurs biens, avant" l’exercice du pouvoir.
"Si les auteurs de cette attaque (de Bouaké) entendaient faire taire Gnamien Konan, c’est peine perdue", a écrit son mouvement, estimant que la "détermination (de son président) à dénoncer et à éradiquer la corruption reste intacte".
En plus de "dénoncer et de condamner l’attaque du domicile de son président", "L@ nouvelle Côte d’Ivoire" a "déploré l’insécurité généralisée dans le pays" et "invité le gouvernement à prendre toutes les dispositions appropriées pour assurer la sécurité des populations, de leurs biens en général et des hommes politiques de tous bords en particulier".
Ange TIEMOKO