Abidjan- Le gouvernement ivoirien a adopté, mercredi, en Conseil des ministres, un décret qui consacre l’extension de la superficie du parc national de Taï (Ouest), qui passe de 340.000 à 508.000, 186 hectares.
Ce parc hérite d’une parcelle amputée, en vertu d’un autre décret, à la réserve partielle de faune de N’ZO. Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, ces ajustements son motivés par le fait que le statut de Taï fait qu’il apporte « une protection plus grande » à la faune et à la flore.
La réserve partielle de Faune de N’ZO prolonge le Parc national de Taï vers le nord, jusqu’à la branche occidentale du lac de Buyo qui occupe une partie de l’ancien bassin de la rivière N’ZO (le lit de cette rivière dessinait, autrefois, la limite nord de la réserve). Elle a été créée par le décret N° 72-545 du 28 août 1972, sa superficie actuelle est estimée à 96.000 hectares. La Réserve du N’ZO est recouverte d’une forêt dense humide sempervirente.
Le gouvernement à travers un autre décret a redéfini également les limites du parc de la Comoé situé dans le Nord-Est de la Côte de la Côte d’Ivoire.
A ce niveau, il s’agit de mettre un terme aux récurrents litiges avec les populations riveraines, a expliqué le porte-parole du gouvernement, indiquant que l’ensemble de ces mesures s’insèrent dans le cadre de la politique du gouvernement pour la préservation, la réhabilitation et l’extension du patrimoine forestier ivoirien.
Le gouvernement lors de son Conseil des ministres du jour a par ailleurs adopté une communication relative à la déclaration de politique de préservation, de réhabilitation et d’extension des forêts ivoiriennes.
La communication fait suite au séminaire gouvernemental tenu le 13 novembre 2017 et au conseil présidentiel tenu le 17 mai 2018 et la politique définie va permettre de protéger la forêt ivoirienne voire de la reconstituer au cours de la prochaine décennie
Le couvert forestier ivoirien est passé de 16 millions d’hectares avant l’indépendance à aujourd’hui environ 3 millions d’hectares soit environ 11% du territoire national.
kg/tm
Ce parc hérite d’une parcelle amputée, en vertu d’un autre décret, à la réserve partielle de faune de N’ZO. Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, ces ajustements son motivés par le fait que le statut de Taï fait qu’il apporte « une protection plus grande » à la faune et à la flore.
La réserve partielle de Faune de N’ZO prolonge le Parc national de Taï vers le nord, jusqu’à la branche occidentale du lac de Buyo qui occupe une partie de l’ancien bassin de la rivière N’ZO (le lit de cette rivière dessinait, autrefois, la limite nord de la réserve). Elle a été créée par le décret N° 72-545 du 28 août 1972, sa superficie actuelle est estimée à 96.000 hectares. La Réserve du N’ZO est recouverte d’une forêt dense humide sempervirente.
Le gouvernement à travers un autre décret a redéfini également les limites du parc de la Comoé situé dans le Nord-Est de la Côte de la Côte d’Ivoire.
A ce niveau, il s’agit de mettre un terme aux récurrents litiges avec les populations riveraines, a expliqué le porte-parole du gouvernement, indiquant que l’ensemble de ces mesures s’insèrent dans le cadre de la politique du gouvernement pour la préservation, la réhabilitation et l’extension du patrimoine forestier ivoirien.
Le gouvernement lors de son Conseil des ministres du jour a par ailleurs adopté une communication relative à la déclaration de politique de préservation, de réhabilitation et d’extension des forêts ivoiriennes.
La communication fait suite au séminaire gouvernemental tenu le 13 novembre 2017 et au conseil présidentiel tenu le 17 mai 2018 et la politique définie va permettre de protéger la forêt ivoirienne voire de la reconstituer au cours de la prochaine décennie
Le couvert forestier ivoirien est passé de 16 millions d’hectares avant l’indépendance à aujourd’hui environ 3 millions d’hectares soit environ 11% du territoire national.
kg/tm