La frange du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), conduite par Aboudrahamane Sangaré, qui conteste la Commission électorale indépendante (CEI), a, dans une note ,appelé dimanche ses militants, à se tenir prêts pour faire barrage" à la révision de la liste électorale prévue du 18 au 24 juin.
"Le FPI appelle les militants, à se tenir mobilisés et prêts pour les mots d’ordre de la direction en vue de faire barrage à cette décision inopportune et dangereuse pour la démocratie", indique le texte.
Pour cette frange, "les élections de 2020" auxquelles elle a annoncé sa participation, "doivent passer par une CEI consensuelle, seule capable de garantir des élections transparentes (et) une liste électorale crédible".
Le camp Sangaré estime que le gouvernement a annoncé la révision de la liste électorale sans consultation et sans tenir compte de l’ordonnance de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples qui a ordonné en 2016 à la Côte d’Ivoire, de rendre l’institution "conforme aux instruments juridiques régionaux".
Il a appelé toute l’opposition ivoirienne au rassemblement pour exiger et obtenir une CEI consensuelle et invité le gouvernement à ouvrir, sans délai, le dialogue avec tous les acteurs sociaux et politiques concernés par la question électorale.
Vendredi, la plateforme de l’opposition Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (EDS) qui juge la CEI) "illégale et illégitime" et dont cette frange du FPI est membre, a appelé les Ivoiriens à ne pas se faire "enrôler" sur la liste électorale.
Au total, 6.318.311 électeurs figurent sur la liste électorale révisée en 2016.
L’opposition ivoirienne dans son ensemble réclame depuis de longs mois une réforme de la CEI, chargée d’organiser les élections en Côte d’Ivoire.
En mars, réagissant à l’ordonnance de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, le gouvernement ivoirien a indiqué que la question de la réforme de la CEI actuelle "ne se justifie guère", estimant que sa composition a "connu une progression qualitative, respecte les équilibres politique et technique, traduisant (une) normalisation de la vie politique".
EFI
"Le FPI appelle les militants, à se tenir mobilisés et prêts pour les mots d’ordre de la direction en vue de faire barrage à cette décision inopportune et dangereuse pour la démocratie", indique le texte.
Pour cette frange, "les élections de 2020" auxquelles elle a annoncé sa participation, "doivent passer par une CEI consensuelle, seule capable de garantir des élections transparentes (et) une liste électorale crédible".
Le camp Sangaré estime que le gouvernement a annoncé la révision de la liste électorale sans consultation et sans tenir compte de l’ordonnance de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples qui a ordonné en 2016 à la Côte d’Ivoire, de rendre l’institution "conforme aux instruments juridiques régionaux".
Il a appelé toute l’opposition ivoirienne au rassemblement pour exiger et obtenir une CEI consensuelle et invité le gouvernement à ouvrir, sans délai, le dialogue avec tous les acteurs sociaux et politiques concernés par la question électorale.
Vendredi, la plateforme de l’opposition Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (EDS) qui juge la CEI) "illégale et illégitime" et dont cette frange du FPI est membre, a appelé les Ivoiriens à ne pas se faire "enrôler" sur la liste électorale.
Au total, 6.318.311 électeurs figurent sur la liste électorale révisée en 2016.
L’opposition ivoirienne dans son ensemble réclame depuis de longs mois une réforme de la CEI, chargée d’organiser les élections en Côte d’Ivoire.
En mars, réagissant à l’ordonnance de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, le gouvernement ivoirien a indiqué que la question de la réforme de la CEI actuelle "ne se justifie guère", estimant que sa composition a "connu une progression qualitative, respecte les équilibres politique et technique, traduisant (une) normalisation de la vie politique".
EFI