APA - Le taux de véhicules de transport de marchandises en extrême surcharge a connu une « baisse drastique» en Côte d’Ivoire, a indiqué le ministre ivoirien de l’économie et des finances, Adama Koné, rapportant des statistiques du mois de mars 2018 issues des postes de pesage sur les corridors.
Ce contrôle des véhicules de transport de marchandises est relatif au règlement 14 de l’Union économique et monétaire ouest africaine ( UEMOA) qui harmonise les normes et les procédures du contrôle de gabarit du poids lourd et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans cet espace.
Selon une note d’information du Comité de concertation Etat-secteur privé ( CCESP) transmise mardi à APA, M. Koné s’exprimait mercredi dernier à la primature au nom du premier ministre ivoirien qu’il représentait lors d’une rencontre du Conseil de concertation (CC) du CCESP pour faire le point des préoccupations examinées par cette institution en 2017.
Au cours de cette rencontre, explique la note, il s’est agi de relever les préoccupations du secteur privé qui ont connu « des avancées significatives ». A ce sujet, le ministre de l’économie et des finances qui est également le président du Comité technique de concertation ( CTC), a affirmé qu’au titre de la dette intérieure des fournisseurs de l’État, le gouvernement a assuré le règlement de 1 117, 86 milliards FCFA dont 446,18 milliards FCFA de reliquat des dépenses liées à l’exercice 2016 et 671,68 milliards FCFA de dépenses en 2017.
« Au 31 janvier 2018, 362,28 milliards FCFA de passifs audités dont 291,12 milliards FCFA validés à titriser sur cinq ans à compter de l’année 2018», a-t-il ajouté. Poursuivant, M. Koné qui a passé en revue les dossiers examinés par ce cadre d’échanges entre l’État et le secteur privé en 2017 a également fait savoir au titre du renforcement de la lutte contre l’orpaillage clandestin que l’opération dénommée Orpi 4 a permis de démanteler 228 sites d’orpaillage illicites.
«Le gouvernement a par ailleurs, accéléré le processus de délivrance des autorisations d’exploitation minière dont 49 autorisations pour l’or», a-t-il par ailleurs souligné.
Dans un autre registre, relativement aux dossiers en cours de traitement par le Comité, M. Koné a indiqué que le dialogue se poursuit en vue de leur avancée. Au nombre desdits dossiers en cours de traitement, il a cité entre autres, les dossiers sur la fiscalité du secteur bois et la taxe sur le caoutchouc granulé spécifié.
« Le ministre Adama Koné a invité les acteurs du privé à transmettre les nouvelles préoccupations en vue de leur examen par le Comité technique de concertation en liaison avec les administrations concernées », conclut la note.
LB/ls/APA
Ce contrôle des véhicules de transport de marchandises est relatif au règlement 14 de l’Union économique et monétaire ouest africaine ( UEMOA) qui harmonise les normes et les procédures du contrôle de gabarit du poids lourd et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans cet espace.
Selon une note d’information du Comité de concertation Etat-secteur privé ( CCESP) transmise mardi à APA, M. Koné s’exprimait mercredi dernier à la primature au nom du premier ministre ivoirien qu’il représentait lors d’une rencontre du Conseil de concertation (CC) du CCESP pour faire le point des préoccupations examinées par cette institution en 2017.
Au cours de cette rencontre, explique la note, il s’est agi de relever les préoccupations du secteur privé qui ont connu « des avancées significatives ». A ce sujet, le ministre de l’économie et des finances qui est également le président du Comité technique de concertation ( CTC), a affirmé qu’au titre de la dette intérieure des fournisseurs de l’État, le gouvernement a assuré le règlement de 1 117, 86 milliards FCFA dont 446,18 milliards FCFA de reliquat des dépenses liées à l’exercice 2016 et 671,68 milliards FCFA de dépenses en 2017.
« Au 31 janvier 2018, 362,28 milliards FCFA de passifs audités dont 291,12 milliards FCFA validés à titriser sur cinq ans à compter de l’année 2018», a-t-il ajouté. Poursuivant, M. Koné qui a passé en revue les dossiers examinés par ce cadre d’échanges entre l’État et le secteur privé en 2017 a également fait savoir au titre du renforcement de la lutte contre l’orpaillage clandestin que l’opération dénommée Orpi 4 a permis de démanteler 228 sites d’orpaillage illicites.
«Le gouvernement a par ailleurs, accéléré le processus de délivrance des autorisations d’exploitation minière dont 49 autorisations pour l’or», a-t-il par ailleurs souligné.
Dans un autre registre, relativement aux dossiers en cours de traitement par le Comité, M. Koné a indiqué que le dialogue se poursuit en vue de leur avancée. Au nombre desdits dossiers en cours de traitement, il a cité entre autres, les dossiers sur la fiscalité du secteur bois et la taxe sur le caoutchouc granulé spécifié.
« Le ministre Adama Koné a invité les acteurs du privé à transmettre les nouvelles préoccupations en vue de leur examen par le Comité technique de concertation en liaison avec les administrations concernées », conclut la note.
LB/ls/APA