Vingt-quatre heures après le retrait de sa garde rapprochée, le Secrétaire exécutif du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Pr Maurice Kakou Guikahué s’est vu retiré le chef de sa sécurité, vendredi, a appris APA de source officielle.
Selon Guy Tressia, le Conseiller en communication du Pr Maurice Kakou Guikahué, « l’officier de police, chef de la sécurité de M. Guikahué depuis treize années, a été rappelé, ce vendredi, par sa hiérarchie pour regagner son service d’origine qu’est la Brigade de surveillance des personnalités (BSP) ».
Une information confirmée par une source policière qui « ne souhaite pas en dire plus ».
Jeudi, les deux gendarmes, un adjudant-chef et un adjudant commis à la garde rapprochée de M. Guikahué, par ailleurs, député et président du groupe parlementaire du PDCI ont « été priés de regagner leur base respective » sans être « remplacés », rappelle M. Tressia.
« Aujourd’hui, M. Guikahué, homme politique, ancien ministre, No2 du PDCI, qui a rempli les formalités administratives et d’usages pour se voir affecté ces agents vient d’être dépouillé de sa garde sans qu’on ne lui donne des explications », s’indigne Guy Tressia.
Cette situation imputée au pouvoir par l’entourage du numéro deux du PDCI intervient dans un contexte de tension entre le Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel) et le PDCI relativement au parti unifié du Rassemblement des houphouétistes pour la paix et la démocratie (RHDP, coalition au pouvoir).
Le Secrétaire exécutif du PDCI fait l’objet de « critiques acerbes » de ses alliés qui le soupçonnent de « torpiller la mise sur pied de ce parti unifié réclamé par le pouvoir », analysent des indiscrétions.
HS/ls/APA
Selon Guy Tressia, le Conseiller en communication du Pr Maurice Kakou Guikahué, « l’officier de police, chef de la sécurité de M. Guikahué depuis treize années, a été rappelé, ce vendredi, par sa hiérarchie pour regagner son service d’origine qu’est la Brigade de surveillance des personnalités (BSP) ».
Une information confirmée par une source policière qui « ne souhaite pas en dire plus ».
Jeudi, les deux gendarmes, un adjudant-chef et un adjudant commis à la garde rapprochée de M. Guikahué, par ailleurs, député et président du groupe parlementaire du PDCI ont « été priés de regagner leur base respective » sans être « remplacés », rappelle M. Tressia.
« Aujourd’hui, M. Guikahué, homme politique, ancien ministre, No2 du PDCI, qui a rempli les formalités administratives et d’usages pour se voir affecté ces agents vient d’être dépouillé de sa garde sans qu’on ne lui donne des explications », s’indigne Guy Tressia.
Cette situation imputée au pouvoir par l’entourage du numéro deux du PDCI intervient dans un contexte de tension entre le Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel) et le PDCI relativement au parti unifié du Rassemblement des houphouétistes pour la paix et la démocratie (RHDP, coalition au pouvoir).
Le Secrétaire exécutif du PDCI fait l’objet de « critiques acerbes » de ses alliés qui le soupçonnent de « torpiller la mise sur pied de ce parti unifié réclamé par le pouvoir », analysent des indiscrétions.
HS/ls/APA