Niakara - Ce mois de Ramadan marqué par le jeûne musulman enregistre à Niakara, une hausse de la vente du " Tamaro", nom Malinké de la datte, un fruit très prisé en cette période dans la circonscription.
Dame Awa Koné N'Tieng (39 ans), commerçante à Niakara, soutient avoir provisoirement abandonné la vente de l'attiéké pour se consacrer à celle des dattes dont la consommation prend de l'ampleur à la rupture du jeûne.
Un constat confirmé par plusieurs petites vendeuses du département qui, désormais, se livrent au commerce ambulant de la datte sèche à Tafiré, à Tortiya et à Niakara.
« En prélude au jeûne musulman, j'ai fait venir une grosse quantité de tamaro de Bamako (Mali). Franchement, je ne regrette pas cet investissement circonstanciel », a fait savoir dame Awa Koné.
Fruit phare de la tradition prophétique islamique, la datte est riche non seulement en potassium, en fer et en sucre mais aussi en vitamines, en sels minéraux et en glucides, indique-t-on.
(AIP)
jbm/aaa/cmas
Dame Awa Koné N'Tieng (39 ans), commerçante à Niakara, soutient avoir provisoirement abandonné la vente de l'attiéké pour se consacrer à celle des dattes dont la consommation prend de l'ampleur à la rupture du jeûne.
Un constat confirmé par plusieurs petites vendeuses du département qui, désormais, se livrent au commerce ambulant de la datte sèche à Tafiré, à Tortiya et à Niakara.
« En prélude au jeûne musulman, j'ai fait venir une grosse quantité de tamaro de Bamako (Mali). Franchement, je ne regrette pas cet investissement circonstanciel », a fait savoir dame Awa Koné.
Fruit phare de la tradition prophétique islamique, la datte est riche non seulement en potassium, en fer et en sucre mais aussi en vitamines, en sels minéraux et en glucides, indique-t-on.
(AIP)
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