En vue de sensibiliser et d’impliquer davantage les parties prenantes à la lutte contre le blanchiment d’argent et à la vulgarisation du nouveau dispositif légal, un atelier se tient les 04 et 05 juin 2018 à Abidjan.
Cette rencontre est organisée par le ministère de l’Économie et des Finances à travers le Comité de coordination des politiques nationales de Lbc/Ft et la prolifération des armes de destruction massive.
Ouvrant les travaux de ces assises, Yapo Akpess Bernard, directeur de cabinet adjoint du ministre de l’Économie et des Finances, a souligné que cet atelier est important pour la Côte d’Ivoire en ce sens qu’il permettra de préparer avec rigueur le succès de notre évaluation mutuelle par les institutions internationales comme le Gafi (Groupe d’action financière), prévue pour février 2021. A ce titre, il a indiqué que le gouvernement ne ménage aucun effort pour rendre son dispositif législatif et réglementaire conforme aux normes internationales en matière de Lbc/Ft.
Kouadio Olivier, conseiller technique du ministre de l’Économie et des Finances et président du Comité de coordination, a affirmé que la rencontre se déroulera autour de séances plénières suivies de panels sur différents thèmes. A savoir « Enjeux de la Lbc/Ft » ; « Cadre juridique et institutionnel de la Lbc/Ft » et « Intérêt de l’évaluation nationale des risques, de la stratégie nationale et de l’évaluation mutuelle ».
La Côte d’Ivoire s’est dotée d’un nouveau dispositif juridique en matière de Lutte contre le blanchiment de capitaux et le Financement du terrorisme (Lbc/Ft), en l’occurrence la loi n°2016-992 du 14 novembre 2016. Ce nouveau texte vient combler les insuffisances du dispositif réglementaire préexistant, notamment la loi n°2005-554 du 02 décembre 2005 relative à la Lutte contre le blanchiment de capitaux et l’Ordonnance n°2009-367 du 12 novembre 2009 relative à la lutte contre le Financement du terrorisme dans les États membres de l’Union monétaire ouest- africaine (Uemoa). De même, la Côte d’Ivoire a entrepris de procéder à l’évaluation nationale des risques de Bc/Ft conformément au calendrier établi par le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent (Giaba). Laquelle évaluation aboutira à l’élaboration d’une Stratégie nationale (Sn).
R. K.
Cette rencontre est organisée par le ministère de l’Économie et des Finances à travers le Comité de coordination des politiques nationales de Lbc/Ft et la prolifération des armes de destruction massive.
Ouvrant les travaux de ces assises, Yapo Akpess Bernard, directeur de cabinet adjoint du ministre de l’Économie et des Finances, a souligné que cet atelier est important pour la Côte d’Ivoire en ce sens qu’il permettra de préparer avec rigueur le succès de notre évaluation mutuelle par les institutions internationales comme le Gafi (Groupe d’action financière), prévue pour février 2021. A ce titre, il a indiqué que le gouvernement ne ménage aucun effort pour rendre son dispositif législatif et réglementaire conforme aux normes internationales en matière de Lbc/Ft.
Kouadio Olivier, conseiller technique du ministre de l’Économie et des Finances et président du Comité de coordination, a affirmé que la rencontre se déroulera autour de séances plénières suivies de panels sur différents thèmes. A savoir « Enjeux de la Lbc/Ft » ; « Cadre juridique et institutionnel de la Lbc/Ft » et « Intérêt de l’évaluation nationale des risques, de la stratégie nationale et de l’évaluation mutuelle ».
La Côte d’Ivoire s’est dotée d’un nouveau dispositif juridique en matière de Lutte contre le blanchiment de capitaux et le Financement du terrorisme (Lbc/Ft), en l’occurrence la loi n°2016-992 du 14 novembre 2016. Ce nouveau texte vient combler les insuffisances du dispositif réglementaire préexistant, notamment la loi n°2005-554 du 02 décembre 2005 relative à la Lutte contre le blanchiment de capitaux et l’Ordonnance n°2009-367 du 12 novembre 2009 relative à la lutte contre le Financement du terrorisme dans les États membres de l’Union monétaire ouest- africaine (Uemoa). De même, la Côte d’Ivoire a entrepris de procéder à l’évaluation nationale des risques de Bc/Ft conformément au calendrier établi par le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent (Giaba). Laquelle évaluation aboutira à l’élaboration d’une Stratégie nationale (Sn).
R. K.