Le colonel Soro Yamani, Directeur Général (DG) des Eaux et Forêts et de la faune, s’est prononcé sur les difficultés liées au bois d’énergie, le 02 Juin 2018 en marge de la 1ère édition de la célébration de l’excellence scolaire dans le collège de proximité de Lataha, établissement secondaire.
« Le problème du bois d’énergie pose aujourd’hui des problèmes autour des grandes agglomérations dans la zone nord de la Côte d’Ivoire. Il faut créer des gisements de bois d’énergies ou ces villes peuvent s’approvisionner et même commercialiser ces produits pour qu’ils deviennent rentables et qui deviennent par la suite une activité à part entière . Car la forêt est le lieu ou le carbone est fixé par les arbres, tout arbre qui fait de la photosynthèse fixe du co2, c’est l’élément essentiel qui fait qu’il y a le changement climatique. C’est un élément à effet de serre. Et en reconstituant la forêt on fixe du carbone. On arrivera à un moment ou l’on ira sur le marché du carbone .Vous fixez du carbone et vous le monnayé en argent. Cela veut dire que si vous avez une parcelle de forêts c’est de l’argent que vous possédez avec la fixation du carbone ».
Insistant, après le planting d’arbre sur un terrain mitoyen au collège de proximité de Lataha, sur l’utilité et la nécessité d’un arbre planté, le colonel Soro Yamani , parrain de cette cérémonie de promotion du mérite, a sensibilisé et encouragé les élèves au planting d’arbres en suivant son exemple.
Il n’a pas manqué d’attirer leur attention sur la place de choix des espèces légumineuses dans le quotidien des habitants de cette partie du pays. « Les espèces légumineuses qui sont en associations avec les autres cultures non seulement elles enrichissent le sol mais on peut les utiliser comme des forages de bois d’énergies pour protéger le peu de forêt qui reste et favoriser des conditions pour faire l’agriculture sans grandes difficultés », a-t-il soutenu.
Poursuivant, il a dit apprécier les inlassables efforts faits par le chef de l’Etat et son gouvernement. Ce, en acceptant ce programme qu’ils ont élaboré pour l’avenir de la Côte d’Ivoire. Pour lui, la forêt est une spéculation à long terme. Alors, pour un arbre que vous voulez exploiter de façon industrielle, il faut au moins 20 ans . Estimant que partir au bout des 10 ans, ils vont faire une révision de leur programme, capitaliser les réussites et corriger les faiblesses qui ont été constatées. Car la foresterie est une activité de longues durées, il a invité, comme l’a dit le président de la république, SEM Alassane Ouattara, « chaque ivoirien, chaque année à planter un arbre. Nous sommes environ 16 millions d’habitants si on le fait nous aurons 16 millions d’arbres chaque année et au bout de 10 ans nous allons reconstituer le couvert forestier ivoirien ».
M. K. avec Benogo. T. à Korhogo
« Le problème du bois d’énergie pose aujourd’hui des problèmes autour des grandes agglomérations dans la zone nord de la Côte d’Ivoire. Il faut créer des gisements de bois d’énergies ou ces villes peuvent s’approvisionner et même commercialiser ces produits pour qu’ils deviennent rentables et qui deviennent par la suite une activité à part entière . Car la forêt est le lieu ou le carbone est fixé par les arbres, tout arbre qui fait de la photosynthèse fixe du co2, c’est l’élément essentiel qui fait qu’il y a le changement climatique. C’est un élément à effet de serre. Et en reconstituant la forêt on fixe du carbone. On arrivera à un moment ou l’on ira sur le marché du carbone .Vous fixez du carbone et vous le monnayé en argent. Cela veut dire que si vous avez une parcelle de forêts c’est de l’argent que vous possédez avec la fixation du carbone ».
Insistant, après le planting d’arbre sur un terrain mitoyen au collège de proximité de Lataha, sur l’utilité et la nécessité d’un arbre planté, le colonel Soro Yamani , parrain de cette cérémonie de promotion du mérite, a sensibilisé et encouragé les élèves au planting d’arbres en suivant son exemple.
Il n’a pas manqué d’attirer leur attention sur la place de choix des espèces légumineuses dans le quotidien des habitants de cette partie du pays. « Les espèces légumineuses qui sont en associations avec les autres cultures non seulement elles enrichissent le sol mais on peut les utiliser comme des forages de bois d’énergies pour protéger le peu de forêt qui reste et favoriser des conditions pour faire l’agriculture sans grandes difficultés », a-t-il soutenu.
Poursuivant, il a dit apprécier les inlassables efforts faits par le chef de l’Etat et son gouvernement. Ce, en acceptant ce programme qu’ils ont élaboré pour l’avenir de la Côte d’Ivoire. Pour lui, la forêt est une spéculation à long terme. Alors, pour un arbre que vous voulez exploiter de façon industrielle, il faut au moins 20 ans . Estimant que partir au bout des 10 ans, ils vont faire une révision de leur programme, capitaliser les réussites et corriger les faiblesses qui ont été constatées. Car la foresterie est une activité de longues durées, il a invité, comme l’a dit le président de la république, SEM Alassane Ouattara, « chaque ivoirien, chaque année à planter un arbre. Nous sommes environ 16 millions d’habitants si on le fait nous aurons 16 millions d’arbres chaque année et au bout de 10 ans nous allons reconstituer le couvert forestier ivoirien ».
M. K. avec Benogo. T. à Korhogo