APA - Des étudiants ont manifesté leur colère, mercredi, à l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS) de Marcory dans le d’Abidjan suite au décès accidentel à 07h30 minutes (heure locale et Gmt) de leur camarade Privat Eric Dié en licence 3 éducation et motricité.
«Nous sommes arrivés un peu plus tôt avant le professeur pour le cours de musculation. Et Dié s’est rendu au gymnase pour faire un échauffement. Là-bas, il a attrapé la barre du poteau de handball qui, malheureusement mal fixée, est revenue le percuter à la nuque alors qu’il était de dos», a expliqué à APA, un autre étudiant de cet institut, témoin oculaire du drame.
« Nous nous sommes alors rendus avec lui au centre national de médecine de sport au sein de l’INJS pour les premiers soins, il n’y avait aucun médecin sur les lieux. Nous avons donc demandé qu’ils appellent alors un ambulancier pour l’évacuer et ils ont répondu que l’ambulance aussi n’était pas opérationnel », a-t-il fait savoir ajoutant que « nous avons donc pris le véhicule d’un étudiant et nous l’avons transporté à l’hôpital général de Marcory. A notre arrivée là-bas, on a été informé de son décès ».
Selon lui, les conditions du décès de leur camarade est « la goutte d’eau qui a fait déborder le vase», d’où leur manifestation de colère qui a fortement perburbé la circulation sur le 3è Pont d’Abidjan (Pont Henri Konan Bédié) mitoyen à l’INJS. Les manifestants ont été dispersés par les forces de l’ordre.
« Nous vivons dans des conditions difficiles depuis longtemps. Il était prévu qu’après les Jeux de la Francophonie, les infrastructures construites au sein de l’Institut reviennent aux étudiants. Mais depuis lors, aucun étudiant n’est logé. Et c’est parce qu’on n’est pas logé que ce genre d’accident arrive », a-t-il tenté de mettre en rapport justifiant que « c’est parce qu’on est obligé de quitter tôt chez nous pour l’école que Dié s’est retrouvé à l’école avant l’heure du cours».
Les tentatives de APA pour avoir la version du Directeur général de l’INJS, Habib Sanogo, sont restées vaines.
LB/ls/APA
«Nous sommes arrivés un peu plus tôt avant le professeur pour le cours de musculation. Et Dié s’est rendu au gymnase pour faire un échauffement. Là-bas, il a attrapé la barre du poteau de handball qui, malheureusement mal fixée, est revenue le percuter à la nuque alors qu’il était de dos», a expliqué à APA, un autre étudiant de cet institut, témoin oculaire du drame.
« Nous nous sommes alors rendus avec lui au centre national de médecine de sport au sein de l’INJS pour les premiers soins, il n’y avait aucun médecin sur les lieux. Nous avons donc demandé qu’ils appellent alors un ambulancier pour l’évacuer et ils ont répondu que l’ambulance aussi n’était pas opérationnel », a-t-il fait savoir ajoutant que « nous avons donc pris le véhicule d’un étudiant et nous l’avons transporté à l’hôpital général de Marcory. A notre arrivée là-bas, on a été informé de son décès ».
Selon lui, les conditions du décès de leur camarade est « la goutte d’eau qui a fait déborder le vase», d’où leur manifestation de colère qui a fortement perburbé la circulation sur le 3è Pont d’Abidjan (Pont Henri Konan Bédié) mitoyen à l’INJS. Les manifestants ont été dispersés par les forces de l’ordre.
« Nous vivons dans des conditions difficiles depuis longtemps. Il était prévu qu’après les Jeux de la Francophonie, les infrastructures construites au sein de l’Institut reviennent aux étudiants. Mais depuis lors, aucun étudiant n’est logé. Et c’est parce qu’on n’est pas logé que ce genre d’accident arrive », a-t-il tenté de mettre en rapport justifiant que « c’est parce qu’on est obligé de quitter tôt chez nous pour l’école que Dié s’est retrouvé à l’école avant l’heure du cours».
Les tentatives de APA pour avoir la version du Directeur général de l’INJS, Habib Sanogo, sont restées vaines.
LB/ls/APA