Songon - Après le procès de 28 étudiants grévistes, membres de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) et accusés de troubles à l'ordre public, une dizaine d'étudiants a été condamnée à séjourner à la maison d’arrêt et de correction d'Abidjan (MACA), a appris mardi, l’AIP auprès de sources proches de l'organisation.
«Sur 28 étudiants grévistes arrêtés le 28 mai, 15 étudiants ont été libérés et 13 autres grévistes ont été déférés à la MACA depuis vendredi », a fait savoir notre source.
Auparavant, la FESCI a condamné ces arrestations qui visent à intimider "les étudiants mécontents " par la voix de ses militants réunis au campus de l'université Félix Houphouët-Boigny de Cocody.
Pour les étudiants membres de la FESCI assis dans les différents QG des sections de ladite fédération " la recherche de solutions sont leurs priorités et non les arrestations". C'est pour quoi, ils promettent d’œuvrer à "la satisfaction des revendications des étudiants pour le bonheur de la communauté estudiantine et scolaire".
La grève de 24h renouvelables, menée le 28 mai par la FESCI, avait enregistré d'interpellation de 14 étudiants, à Abidjan et six à Man, par la police. Au niveau de la ville de Yamoussoukro, 16 autres étudiants avaient été interpellés puis relâchés dans la soirée de cette même date.
(AIP)
tg/bsp/fmo
«Sur 28 étudiants grévistes arrêtés le 28 mai, 15 étudiants ont été libérés et 13 autres grévistes ont été déférés à la MACA depuis vendredi », a fait savoir notre source.
Auparavant, la FESCI a condamné ces arrestations qui visent à intimider "les étudiants mécontents " par la voix de ses militants réunis au campus de l'université Félix Houphouët-Boigny de Cocody.
Pour les étudiants membres de la FESCI assis dans les différents QG des sections de ladite fédération " la recherche de solutions sont leurs priorités et non les arrestations". C'est pour quoi, ils promettent d’œuvrer à "la satisfaction des revendications des étudiants pour le bonheur de la communauté estudiantine et scolaire".
La grève de 24h renouvelables, menée le 28 mai par la FESCI, avait enregistré d'interpellation de 14 étudiants, à Abidjan et six à Man, par la police. Au niveau de la ville de Yamoussoukro, 16 autres étudiants avaient été interpellés puis relâchés dans la soirée de cette même date.
(AIP)
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