Le gouvernement ivoirien entend engager une lutte féroce contre la corruption qui est perçue comme une véritable gangrène contre le développement.
C’est pourquoi une délégation de la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG) sillonne tout le territoire national depuis 2015. La campagne dans la région de l’Agnéby-Tiassa qui a eu lieu récemment à la salle de conférence de la préfecture a regroupé tous les corps constitués de la région.
Corps préfectoral, élus, directeurs régionaux, départementaux et chefs, guides religieux, syndicats, associations, Ongs, les jeunes et les femmes…tous ont été sensibilisés aux conséquences de la corruption qui est perçue comme un frein au développement. « Cette campagne initiée depuis 2015 entend présenter le dispositif de la lutte contre la corruption et les infractions assimilées », a dit Me Francine Aka Angui, membre du conseil de la HABG.
Pour sa part, Achiaou Jacques directeur de la sensibilisation a indiqué que passée la phase de sensibilisation l’on entamera la phase de répression. Non sans décrire les conséquences fâcheuses de cette pratique. Il faut dire que l’indice de perception de la corruption publié par Transparency International indique une progression de la Côte d’Ivoire.
Ahou Moayé
Correspondant à Agboville
C’est pourquoi une délégation de la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG) sillonne tout le territoire national depuis 2015. La campagne dans la région de l’Agnéby-Tiassa qui a eu lieu récemment à la salle de conférence de la préfecture a regroupé tous les corps constitués de la région.
Corps préfectoral, élus, directeurs régionaux, départementaux et chefs, guides religieux, syndicats, associations, Ongs, les jeunes et les femmes…tous ont été sensibilisés aux conséquences de la corruption qui est perçue comme un frein au développement. « Cette campagne initiée depuis 2015 entend présenter le dispositif de la lutte contre la corruption et les infractions assimilées », a dit Me Francine Aka Angui, membre du conseil de la HABG.
Pour sa part, Achiaou Jacques directeur de la sensibilisation a indiqué que passée la phase de sensibilisation l’on entamera la phase de répression. Non sans décrire les conséquences fâcheuses de cette pratique. Il faut dire que l’indice de perception de la corruption publié par Transparency International indique une progression de la Côte d’Ivoire.
Ahou Moayé
Correspondant à Agboville