Le président ivoirien Alassane Ouattara a assuré vendredi que le processus de libéralisation de l’espace audiovisuel en Côte d’Ivoire "sera effectif d’ici fin" 2018, à une cérémonie.
"Le processus de libéralisation de notre espace audiovisuel sera effectif d’ici la fin de cette année, les éditeurs privés sélectionnées seront en mesure de diffuser leur production", a indiqué M. Ouattara, à la cérémonie de remise du rapport annuel de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca).
En décembre 2016, la Haca, organe de régulation, a autorisé quatre télévisions privées commerciales à émettre, dans le cadre de cette libéralisation du secteur audiovisuel dont la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI, chaîne publique) est l’unique média, après un appel d’offres.
"Notre pays avance bien", s’est félicité le président, se disant satisfait de cette "libéralisation attendue depuis des décennies".
Le président a évoqué "une évolution positive" de la TNT, "corollaire de cette libéralisation", avec la "mise en place du cadre légal et la création fin 2017 de la société ivoirienne de télédiffusion".
Le président de la HACA, Ibrahim Sy Savané avait auparavant exprimé son "inquiétude" face au "rythme lent et saccadé du processus" du réseau TNT, souhaitant "une mobilisation des énergies" pour son accélération.
Pour lui, ces "nouvelles chaînes sont face à l’inconnu de la période d’achèvement de la transition numérique sans laquelle elles ne peuvent émettre".
Alassane Ouattara a invité la HACA à "maintenir l’ordre dans le secteur, tout en (s’) assurant de l’équilibre des opinions, surtout en période électorale".
Depuis plus de 50 ans, le secteur audiovisuel ivoirien est composé de deux chaînes à savoir RTI1 et RTI2.
La Haca a également autorisé sept opérateurs de bouquets qui rendent accessibles près de 500 chaînes de télévision.
Cent quatre-vingt-onze radios dont 148 de proximité émettent en Côte d’Ivoire.
EFI
"Le processus de libéralisation de notre espace audiovisuel sera effectif d’ici la fin de cette année, les éditeurs privés sélectionnées seront en mesure de diffuser leur production", a indiqué M. Ouattara, à la cérémonie de remise du rapport annuel de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca).
En décembre 2016, la Haca, organe de régulation, a autorisé quatre télévisions privées commerciales à émettre, dans le cadre de cette libéralisation du secteur audiovisuel dont la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI, chaîne publique) est l’unique média, après un appel d’offres.
"Notre pays avance bien", s’est félicité le président, se disant satisfait de cette "libéralisation attendue depuis des décennies".
Le président a évoqué "une évolution positive" de la TNT, "corollaire de cette libéralisation", avec la "mise en place du cadre légal et la création fin 2017 de la société ivoirienne de télédiffusion".
Le président de la HACA, Ibrahim Sy Savané avait auparavant exprimé son "inquiétude" face au "rythme lent et saccadé du processus" du réseau TNT, souhaitant "une mobilisation des énergies" pour son accélération.
Pour lui, ces "nouvelles chaînes sont face à l’inconnu de la période d’achèvement de la transition numérique sans laquelle elles ne peuvent émettre".
Alassane Ouattara a invité la HACA à "maintenir l’ordre dans le secteur, tout en (s’) assurant de l’équilibre des opinions, surtout en période électorale".
Depuis plus de 50 ans, le secteur audiovisuel ivoirien est composé de deux chaînes à savoir RTI1 et RTI2.
La Haca a également autorisé sept opérateurs de bouquets qui rendent accessibles près de 500 chaînes de télévision.
Cent quatre-vingt-onze radios dont 148 de proximité émettent en Côte d’Ivoire.
EFI