ABIDJAN - Le directeur par intérim du guichet unique de l’automobile Pascal Teya, a affirmé, mardi à Abidjan que "le système informatique et l’internet étaient à l’arrêt, depuis le 18 avril", après un scandale lié à l’immatriculation frauduleuse de véhicules, lors d’une conférence de presse.
"Depuis le 18 avril, le système informatique et internet étaient à l’arrêt" a indiqué M.Teya, précisant que le personnel du guichet unique a "travaillé manuellement, avec pour conséquence la lenteur au niveau du service.
Cette lenteur est survenue après que la douane ivoirienne a découvert mi-avril l’existence d’un mécanisme frauduleux d’immatriculation de véhicules.
La direction du guichet unique de l’automobile, structure en charge du dédouanement des véhicules a "fait un état des lieux et sur instruction du ministre des Transports, nous avons démarré les activités", a ajouté Pascal Teya.
Dix-huit personnes issues de la chaîne des structures rattachées au guichet unique de l’automobile, notamment le ministère des Transports, Côte d’Ivoire Logistique, Quipus, la Douane, le ministère du Commerce et la Sicta, ont été interpellées dans cette affaire, dont le préjudice subi par l’Etat est évalué à au moins deux milliards FCFA, selon le procureur de la République Richard Adou.
HAN
"Depuis le 18 avril, le système informatique et internet étaient à l’arrêt" a indiqué M.Teya, précisant que le personnel du guichet unique a "travaillé manuellement, avec pour conséquence la lenteur au niveau du service.
Cette lenteur est survenue après que la douane ivoirienne a découvert mi-avril l’existence d’un mécanisme frauduleux d’immatriculation de véhicules.
La direction du guichet unique de l’automobile, structure en charge du dédouanement des véhicules a "fait un état des lieux et sur instruction du ministre des Transports, nous avons démarré les activités", a ajouté Pascal Teya.
Dix-huit personnes issues de la chaîne des structures rattachées au guichet unique de l’automobile, notamment le ministère des Transports, Côte d’Ivoire Logistique, Quipus, la Douane, le ministère du Commerce et la Sicta, ont été interpellées dans cette affaire, dont le préjudice subi par l’Etat est évalué à au moins deux milliards FCFA, selon le procureur de la République Richard Adou.
HAN
