Bouna - Des forces de l'ordre, instruites par le substitut résident près la section de tribunal de Bouna, Ettien Tiémélé, ont placé l'abattoir de Bouna sous haute surveillance, aux fins d'y assurer la quiétude des bouchers quelques peu menacés par des membres du Collectif des fonctionnaires et agents du ministère des Ressources animales et halieutiques (COFAMIRAH) qui disent entamer une grève.
Gendarmes et policiers avaient pris d'assaut le nouvel abattoir de la ville dès lundi. Pour Ettien Tiémélé, une grève ne doit aucunement affamer tout un peuple. Pour l'heure, la viande de bœuf est desservie sur le marché de Bouna et dans les villages environnants pour le grand bonheur des populations.
Selon le directeur départemental des ressources animales et halieutiques de Bouna, Kouassi Kouman, par ailleurs agent assermenté, la viande ainsi livrée sur le marché, respecte les normes en vigueur.
''Je tiens à rassurer nos populations que cette viande sur le marché est de qualité car ayant été soumise à un contrôle de nos services'', a signifié M. Kouassi, présent à l'abattoir pour une séance d'expertise et qui, au passage, a tenu à remercier le substitut résident, Ettien Tiémélé pour la sécurisation du site.
Le COFAMIRAH réclame des indemnités de risques, de sujétion, une participation à la judiciaire, une prime d’incitation et l’officialisation de la tenue des agents halieutes, signale-t-on.
on/fmo
Gendarmes et policiers avaient pris d'assaut le nouvel abattoir de la ville dès lundi. Pour Ettien Tiémélé, une grève ne doit aucunement affamer tout un peuple. Pour l'heure, la viande de bœuf est desservie sur le marché de Bouna et dans les villages environnants pour le grand bonheur des populations.
Selon le directeur départemental des ressources animales et halieutiques de Bouna, Kouassi Kouman, par ailleurs agent assermenté, la viande ainsi livrée sur le marché, respecte les normes en vigueur.
''Je tiens à rassurer nos populations que cette viande sur le marché est de qualité car ayant été soumise à un contrôle de nos services'', a signifié M. Kouassi, présent à l'abattoir pour une séance d'expertise et qui, au passage, a tenu à remercier le substitut résident, Ettien Tiémélé pour la sécurisation du site.
Le COFAMIRAH réclame des indemnités de risques, de sujétion, une participation à la judiciaire, une prime d’incitation et l’officialisation de la tenue des agents halieutes, signale-t-on.
on/fmo