Dimbokro- Au regard des résultats probants obtenus par la cellule antidrogue de la gendarmerie de Dimbokro, cinq mois seulement après son installation, il est nécessaire de doter cette unitéde moyens adéquats afin d’atténuer l’expansion de la drogue qui gagne les couches sociales notamment la jeunesse du N’zi à cause de l’orpaillage clandestin.
En cinq mois d’exercice, l’unité de lutte contre la drogue a procédé à la saisie de 80,603 kg de drogues composés de 59,4 kg de cannabis, 21, 2kg de produits pharmaceutiques non enregistrés en Côte d’Ivoire, 15 comprimés de diazépam et 5 comprimés d’éphédrine. Elle a également arrêté 12 personnes dans le cadre des différentes opérations qui ont été déférées devant les tribunaux de Bongouanou et de Dimbokro.
Composée de quelques éléments, la cellule antidrogue dirigée par le capitaine Fofana Issouf est confinée dans un local délabré à la compagnie de la gendarmerie. Par manque de bureau et de salle de réunion, les éléments sont obligés de tenir leurs réunions et autres briefing à l’air libre. A cela s’ajoute l’absence de moyens de mobilité notamment de véhicules pour effectuer les opérations montées, surtout que la cellule couvre les localités de Bocanda, Bongouanou et M’batto en plus de Dimbokro.
« La drogue est un fléau majeur qui a gagné le milieu scolaire, menaçant ainsi l’avenir de notre jeunesse », s’inquiétait récemment le représentant du maire, le deuxième adjoint au maire de Dimbokro, Oka N’guessan Clément, à la cérémonie d’incinération des drogues saisies par la cellule. Il avait plaidé pour plus de moyens et l’implication de tous dans la répression de ce phénomène.
(AIP)
ik/cmas
En cinq mois d’exercice, l’unité de lutte contre la drogue a procédé à la saisie de 80,603 kg de drogues composés de 59,4 kg de cannabis, 21, 2kg de produits pharmaceutiques non enregistrés en Côte d’Ivoire, 15 comprimés de diazépam et 5 comprimés d’éphédrine. Elle a également arrêté 12 personnes dans le cadre des différentes opérations qui ont été déférées devant les tribunaux de Bongouanou et de Dimbokro.
Composée de quelques éléments, la cellule antidrogue dirigée par le capitaine Fofana Issouf est confinée dans un local délabré à la compagnie de la gendarmerie. Par manque de bureau et de salle de réunion, les éléments sont obligés de tenir leurs réunions et autres briefing à l’air libre. A cela s’ajoute l’absence de moyens de mobilité notamment de véhicules pour effectuer les opérations montées, surtout que la cellule couvre les localités de Bocanda, Bongouanou et M’batto en plus de Dimbokro.
« La drogue est un fléau majeur qui a gagné le milieu scolaire, menaçant ainsi l’avenir de notre jeunesse », s’inquiétait récemment le représentant du maire, le deuxième adjoint au maire de Dimbokro, Oka N’guessan Clément, à la cérémonie d’incinération des drogues saisies par la cellule. Il avait plaidé pour plus de moyens et l’implication de tous dans la répression de ce phénomène.
(AIP)
ik/cmas