Plus de 6 tonnes de produits contrefaits et diverses drogues (héroïne, chanvre indien, amphétamines et métamphétamines...) ont été brulées le mardi 26 juin à Bouaké sur l’axe Diabo-Civacci.
Et ce sous la supervision de Koné Brahman, procureur de la République près du Tribunal de première Instance de Bouaké. Il s’agissait de lots de produits contrefaits et des quantités de drogue saisis par la cellule anti-drogue et stupéfiant de la gendarmerie de Bouaké, d’une valeur estimée à plusieurs millions de francs CFA. Étaient aussi présents, le secrétaire général 1 de la préfecture de région de Gbêkê, Koné Vakaba, Capitaine Ambreu Atsé Sébastin et le Lieutenant Oualï Yoho, respectivement commandants des cellules anti-drogues et stupéfiants de la gendarmerie, et de la douane de Bouaké.
Cette incinération est le bilan des prises de la cellule anti-drogue de la gendarmerie au cours de la période du 01 janvier au 15 juin 2018 menées conjointement avec la cellule anti-drogue et stupéfiants de la douane de Bouaké. « Cet important lot de produits contrefaits, et diverses drogue est estimé à plusieurs millions de francs CFA», a dit le Capitaine Ambreu Atsé Sébastien. Selon lui, la « mission économique » inclut également « une mission sécuritaire », justifiant la lutte contre le trafic de faux médicaments, de produits vétérinaires, de drogue, de produits avariés ou contrefaits. Il a indiqué que sa cellule va redoubler de vigilance pour mettre sous l’éteignoir tous ceux qui ambitionnent de faire de Bouaké, la place tournante du trafic de stupéfiants.
« Les opérations ont été menées avec l’appui de la gendarmerie, des forces de police nationale à Bouaké, afin de freiner les pilleurs de l’économie nationale par ces fraudes et produits contrefaits », a pour sa part noté le Lieutenant Oulaï Yoho. Il a dit que dès sa prise de fonction à la tête de ce service de la douane à Bouaké, il a mis en place avec ses hommes, des patrouilles éclatées pour freiner les velléités des narcotrafiquants qui souhaitent faire de Bouaké un paradis de la drogue. « Nous voulons aussi par cette opération, protéger la santé publique des populations et l’économie nationale», a-t-il souligné. Tous ont soumis au secrétaire général 1 de la préfecture de région de Bouaké des doléances de mobilité afin de mener à bien leur mission dans les régions de Gbêkê et du Hambol.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké
Et ce sous la supervision de Koné Brahman, procureur de la République près du Tribunal de première Instance de Bouaké. Il s’agissait de lots de produits contrefaits et des quantités de drogue saisis par la cellule anti-drogue et stupéfiant de la gendarmerie de Bouaké, d’une valeur estimée à plusieurs millions de francs CFA. Étaient aussi présents, le secrétaire général 1 de la préfecture de région de Gbêkê, Koné Vakaba, Capitaine Ambreu Atsé Sébastin et le Lieutenant Oualï Yoho, respectivement commandants des cellules anti-drogues et stupéfiants de la gendarmerie, et de la douane de Bouaké.
Cette incinération est le bilan des prises de la cellule anti-drogue de la gendarmerie au cours de la période du 01 janvier au 15 juin 2018 menées conjointement avec la cellule anti-drogue et stupéfiants de la douane de Bouaké. « Cet important lot de produits contrefaits, et diverses drogue est estimé à plusieurs millions de francs CFA», a dit le Capitaine Ambreu Atsé Sébastien. Selon lui, la « mission économique » inclut également « une mission sécuritaire », justifiant la lutte contre le trafic de faux médicaments, de produits vétérinaires, de drogue, de produits avariés ou contrefaits. Il a indiqué que sa cellule va redoubler de vigilance pour mettre sous l’éteignoir tous ceux qui ambitionnent de faire de Bouaké, la place tournante du trafic de stupéfiants.
« Les opérations ont été menées avec l’appui de la gendarmerie, des forces de police nationale à Bouaké, afin de freiner les pilleurs de l’économie nationale par ces fraudes et produits contrefaits », a pour sa part noté le Lieutenant Oulaï Yoho. Il a dit que dès sa prise de fonction à la tête de ce service de la douane à Bouaké, il a mis en place avec ses hommes, des patrouilles éclatées pour freiner les velléités des narcotrafiquants qui souhaitent faire de Bouaké un paradis de la drogue. « Nous voulons aussi par cette opération, protéger la santé publique des populations et l’économie nationale», a-t-il souligné. Tous ont soumis au secrétaire général 1 de la préfecture de région de Bouaké des doléances de mobilité afin de mener à bien leur mission dans les régions de Gbêkê et du Hambol.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké