La Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG) et l’Institut national de la statistique (INS) ont lancé une étude exploratoire des procédures en vigueur dans l’administration publique pour prévenir et lutter contre la corruption et les infractions assimilées au cours d’un atelier, ce mercredi 13 juin 2018, à Abidjan.
«Le but d’une telle action est de parvenir à déterminer les occurrences et à évaluer la prévalence et le risque potentiel de survenance des actes de corruption et d’infractions assimilées dans les administrations publiques sélectionnées », a indiqué Marc Antoine Kablan, secrétaire général de la HABG. La corruption, notons-le, est un fléau qui gangrène la société ivoirienne notamment l’administration publique. Selon Transparency internationnal, la Côte d’Ivoire occupait la 103ème place en matière corruption en 2017 quoique a relevé M. Kablan, le pays ait fait un bond de 33 places par rapport à l’année précédente. De même que selon l’indice Mo Ibrahim de la gouvernance en Afrique de 2017, où le pays occupait la 20ème place avec une note de 54,2 sur 100 contre 53,3 en 2016. Pour autant, la HABG conformément aux prérogatives que lui confère l’ordonnance qui l’a créée en 2013, entend œuvrer «pour renforcer ces acquis ».
L’étude exploratoire des procédures en vigueur dans l’administration publique pour prévenir et lutter contre la corruption et les infractions assimilées s’étendra sur trois mois à compter du 20 juin prochain et se déroulera en quatre phases, a informé Doffou N’Guessan, Directeur général de l’INS. La phase exploratoire pour recueillir les informations, la phase d’exploitation des informations, la phase d’élaboration des indicateurs et la phase de soumission des résultats à la HABG.
D.T
«Le but d’une telle action est de parvenir à déterminer les occurrences et à évaluer la prévalence et le risque potentiel de survenance des actes de corruption et d’infractions assimilées dans les administrations publiques sélectionnées », a indiqué Marc Antoine Kablan, secrétaire général de la HABG. La corruption, notons-le, est un fléau qui gangrène la société ivoirienne notamment l’administration publique. Selon Transparency internationnal, la Côte d’Ivoire occupait la 103ème place en matière corruption en 2017 quoique a relevé M. Kablan, le pays ait fait un bond de 33 places par rapport à l’année précédente. De même que selon l’indice Mo Ibrahim de la gouvernance en Afrique de 2017, où le pays occupait la 20ème place avec une note de 54,2 sur 100 contre 53,3 en 2016. Pour autant, la HABG conformément aux prérogatives que lui confère l’ordonnance qui l’a créée en 2013, entend œuvrer «pour renforcer ces acquis ».
L’étude exploratoire des procédures en vigueur dans l’administration publique pour prévenir et lutter contre la corruption et les infractions assimilées s’étendra sur trois mois à compter du 20 juin prochain et se déroulera en quatre phases, a informé Doffou N’Guessan, Directeur général de l’INS. La phase exploratoire pour recueillir les informations, la phase d’exploitation des informations, la phase d’élaboration des indicateurs et la phase de soumission des résultats à la HABG.
D.T