Placée sous le parrainage du Premier ministre Jeannot AHOUSSOU-KOUADIO, Président de la chambre haute du parlement ivoirien, Vice-Président du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire-Rassemblement Démocratique Africain (PDCI-RDA), la rentrée politique de la Délégation Générale du PDCI-RDA de Washington DC a eu lieu le Samedi 09 juin 2018 en présence de plusieurs Membres du Bureau politique, des Délégués Généraux du PDCI-RDA des États-Unis, des Secrétaires Généraux de section du PDCI-RDA, des Présidents de Comités de base du PDCI-RDA, des Délégués des Partis alliés du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) – Rassemblement des Républicains (RDR), Mouvements des Forces d’Avenir (MFA), Union pour la Démocratie et la Paix de Côte d’Ivoire (UDPCI), Parti Ivoirien des Travailleurs (PIT), Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI) – des Mandataires des partis frères du Front Populaire Ivoirien (FPI), des militants et sympathisants du PDCI-RDA. Cette grand-messe, qui a eu pour cadre la salle de conférence Centre d’Activités de Gaithersburg sise à Washington DC (506 S Frederick Ave, Gaithersburg MD 20877), a porté sur le thème « Quel PDCI-RDA face à la génération montante en 2020 ? »
Le parrain de la cérémonie, empêché, a été valablement représenté par le Docteur DJELHI Yahot Molière, Inspecteur d’État, membre du bureau politique du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire-Rassemblement Démocratique Africain (PDCI-RDA), Membre du Secretariat Exécutif chargé de l’Amérique du Nord et de l’Asie.
Cette tribune a été l’occasion pour le Délégué Général de Washington DC de relayer les préoccupations de la base à l’endroit des dirigeants du parti. Avec franchise et sans langue de bois, Monsieur Patrice ADAM-YÉBOUA s’est interrogé à juste titre sur l’avenir politique du PDCI-RDA, ce parti septuagénaire en proie à des dissensions internes et menacé de disparition. Il a dénoncé cet oxymore qui consisterait pour le PDCI-RDA et ses alliés politiques à aller au parti unifié sans perdre leur souveraineté et leur identité ; non sans se demander ce que cache cette invite soudaine à se fondre dans le moule insuffisamment défini du RHDP alors que se discute encore la question de la succession par alternance. « Ne serait-ce pas là une façon de nous couper insidieusement l’herbe sous les pieds ? », a-t-il questionné.
Ce faisant, Monsieur ADAM-YÉBOUA, nommé le 27 mai 2017 par le Président Henri Konan BÉDIÉ n’a pas failli à sa réputation d’adepte de la franchise. Au regard du record de mobilisation qu’il a réussi, on peut dire sans risque de se tromper que sa qualité de rassembleur n’a nullement été entachée, à la grande satisfaction du représentant du parrain.
Monsieur ADAM-YÉBOUA n’a pas manqué de présenter l’ensemble de son bureau et des Secrétaires Généraux des Sections sous son controle, en guise d’hommage pour le travail acharné qu’il abat dans l’ombre.
Il faut préciser que le thème initial qui était « Quel Houphouëtisme face à la génération montante en 2020 ? », a connu un léger amendement pour mieux coller à l’actualité du moment et mieux incarné l’aspiration des militants vivant au pays de l’oncle Sam.
En levée de rideau de la conférence prononcée par le représentant du parrain, l’auditoire a eu droit à une intervention fort appréciée de Monsieur Kéïta Aboubakar, dernier Président national du Mouvement des Élèves et Étudiants de Côte d’Ivoire (MEECI). Ce dernier a invité les militants à s’approprier les valeurs de l’houphouëtisme vrai, et à en faire usage sans modération en tout lieu et en toute circonstance pour relever les défis de la réconciliation et de l’emploi. Le dialogue, insistera-t-il, est l’arme des forts qui a contribué à assurer à la Côte d’Ivoire toute la stabilité politique et économique que nous lui avons connue. Cette stabilité, faut-il le rappeler, a été le gage de son succès d’antan et le secret du respect qui était voué à la diaspora ivoirienne de partout dans le monde.
À la suite de Monsieur KÉITA Aboubacar, Docteur DJELHI Yahot Molière a, au cours d’une conférence digne de ce nom, fait droit aux préoccupations des militants et levé leurs incompréhensions. Sans faux fuyant, l’Inspecteur d’État a éclairé la lanterne des participants sur les questions de l’alternance en 2020, de même que sur le devenir du PDCI-RDA.
D’entrée, il a contextualisé le thème en le situant 58 ans après l’indépendance, 28 ans après l’avènement du multipartisme, 19 ans après le coup d’Etat stupide qui a spolié le PDCI-RDA du pouvoir d’Etat, 16 ans après le début de la rébellion, 7 ans et demi après la crise postélectorale et 2 ans avant les élections présidentielles de 2020. À entendre le conférencier, le PDCI-RDA en 2020 ne sera ni plus ni moins qu’un PDCI-RDA fidèle à sa philosophie initiale : celle d’une formation politique soucieuse du renforcement des capacités de ses jeunes, mais aussi et surtout celle d’un parti politique adepte de la géopolitique. Le PDCI-RDA à venir sera également un parti politique au diapason des technologies contemporaines de l’information et de la communication, un parti très regardant sur la durée du séjour de ses Ministres au gouvernement. Pour ce faire, des reformes s’imposent. Ces réformes, qui incombent aux instances dirigeantes du parti, sont engagées depuis le congrès de 2013. Elles portent sur la décentralisation du pouvoir interne, sur fond de promotion véritable des jeunes. Elles se feront toutefois sans préjudice du rôle important que la jeunesse doit jouer de son côté en se constituant en une force de propositions et en se faisant massivement enrôler.
Un buffet et la traditionnelle photo de famille ont clos cette rentrée politique, après quelque six(6) heures d’horloge.
Service de Communication
Délégation Générale PDCI-RDA
Washington DC
Le parrain de la cérémonie, empêché, a été valablement représenté par le Docteur DJELHI Yahot Molière, Inspecteur d’État, membre du bureau politique du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire-Rassemblement Démocratique Africain (PDCI-RDA), Membre du Secretariat Exécutif chargé de l’Amérique du Nord et de l’Asie.
Cette tribune a été l’occasion pour le Délégué Général de Washington DC de relayer les préoccupations de la base à l’endroit des dirigeants du parti. Avec franchise et sans langue de bois, Monsieur Patrice ADAM-YÉBOUA s’est interrogé à juste titre sur l’avenir politique du PDCI-RDA, ce parti septuagénaire en proie à des dissensions internes et menacé de disparition. Il a dénoncé cet oxymore qui consisterait pour le PDCI-RDA et ses alliés politiques à aller au parti unifié sans perdre leur souveraineté et leur identité ; non sans se demander ce que cache cette invite soudaine à se fondre dans le moule insuffisamment défini du RHDP alors que se discute encore la question de la succession par alternance. « Ne serait-ce pas là une façon de nous couper insidieusement l’herbe sous les pieds ? », a-t-il questionné.
Ce faisant, Monsieur ADAM-YÉBOUA, nommé le 27 mai 2017 par le Président Henri Konan BÉDIÉ n’a pas failli à sa réputation d’adepte de la franchise. Au regard du record de mobilisation qu’il a réussi, on peut dire sans risque de se tromper que sa qualité de rassembleur n’a nullement été entachée, à la grande satisfaction du représentant du parrain.
Monsieur ADAM-YÉBOUA n’a pas manqué de présenter l’ensemble de son bureau et des Secrétaires Généraux des Sections sous son controle, en guise d’hommage pour le travail acharné qu’il abat dans l’ombre.
Il faut préciser que le thème initial qui était « Quel Houphouëtisme face à la génération montante en 2020 ? », a connu un léger amendement pour mieux coller à l’actualité du moment et mieux incarné l’aspiration des militants vivant au pays de l’oncle Sam.
En levée de rideau de la conférence prononcée par le représentant du parrain, l’auditoire a eu droit à une intervention fort appréciée de Monsieur Kéïta Aboubakar, dernier Président national du Mouvement des Élèves et Étudiants de Côte d’Ivoire (MEECI). Ce dernier a invité les militants à s’approprier les valeurs de l’houphouëtisme vrai, et à en faire usage sans modération en tout lieu et en toute circonstance pour relever les défis de la réconciliation et de l’emploi. Le dialogue, insistera-t-il, est l’arme des forts qui a contribué à assurer à la Côte d’Ivoire toute la stabilité politique et économique que nous lui avons connue. Cette stabilité, faut-il le rappeler, a été le gage de son succès d’antan et le secret du respect qui était voué à la diaspora ivoirienne de partout dans le monde.
À la suite de Monsieur KÉITA Aboubacar, Docteur DJELHI Yahot Molière a, au cours d’une conférence digne de ce nom, fait droit aux préoccupations des militants et levé leurs incompréhensions. Sans faux fuyant, l’Inspecteur d’État a éclairé la lanterne des participants sur les questions de l’alternance en 2020, de même que sur le devenir du PDCI-RDA.
D’entrée, il a contextualisé le thème en le situant 58 ans après l’indépendance, 28 ans après l’avènement du multipartisme, 19 ans après le coup d’Etat stupide qui a spolié le PDCI-RDA du pouvoir d’Etat, 16 ans après le début de la rébellion, 7 ans et demi après la crise postélectorale et 2 ans avant les élections présidentielles de 2020. À entendre le conférencier, le PDCI-RDA en 2020 ne sera ni plus ni moins qu’un PDCI-RDA fidèle à sa philosophie initiale : celle d’une formation politique soucieuse du renforcement des capacités de ses jeunes, mais aussi et surtout celle d’un parti politique adepte de la géopolitique. Le PDCI-RDA à venir sera également un parti politique au diapason des technologies contemporaines de l’information et de la communication, un parti très regardant sur la durée du séjour de ses Ministres au gouvernement. Pour ce faire, des reformes s’imposent. Ces réformes, qui incombent aux instances dirigeantes du parti, sont engagées depuis le congrès de 2013. Elles portent sur la décentralisation du pouvoir interne, sur fond de promotion véritable des jeunes. Elles se feront toutefois sans préjudice du rôle important que la jeunesse doit jouer de son côté en se constituant en une force de propositions et en se faisant massivement enrôler.
Un buffet et la traditionnelle photo de famille ont clos cette rentrée politique, après quelque six(6) heures d’horloge.
Service de Communication
Délégation Générale PDCI-RDA
Washington DC
