Bangolo - Nabatoum Wendmaneguedé Christian, cuisinier du secrétaire général de préfecture de Bangolo, et sa concubine, parents de triplés, depuis le 22 mai, invite les âmes généreuses à leur venir en aide pour subvenir aux besoins de leurs progénitures.
«Nous n'avons pas assez d'argent pour nous occuper de la nourriture et la santé des nos bébés. On se débrouille comme on peut mais c'est difficile. Venez-nous en aide», a déclaré à l’AIP, vendredi, la femme du cusinier, Zadi Gabahibo.
La gestion de la grossesse et l'accouchement, ajoute la mère, ont été source de nombreuses dépenses physiques et financières pour leur famille à revenus modestes.
Les proches et amis de la famille habitant le quartier Dioulabougou de Bangolo, seuls soutiens du couple, sollicitent l'intervention du ministère de la Femme et de la Protection de l'Enfant et de la Solidarité, pour soutenir ce couple.
Nourrir ces trois bébés au biberon nécessite beaucoup de moyens. «La mère ne peut pas les allaiter tous", plaide le père.
Nés par césarienne au bloc opératoire de Centre hospitalier régional (CHR) de Duékoué, les enfants Nabatoum Eloi, Émile et Elorie se portent bien, selon leurs parents.
jn/nmfa/fmo
«Nous n'avons pas assez d'argent pour nous occuper de la nourriture et la santé des nos bébés. On se débrouille comme on peut mais c'est difficile. Venez-nous en aide», a déclaré à l’AIP, vendredi, la femme du cusinier, Zadi Gabahibo.
La gestion de la grossesse et l'accouchement, ajoute la mère, ont été source de nombreuses dépenses physiques et financières pour leur famille à revenus modestes.
Les proches et amis de la famille habitant le quartier Dioulabougou de Bangolo, seuls soutiens du couple, sollicitent l'intervention du ministère de la Femme et de la Protection de l'Enfant et de la Solidarité, pour soutenir ce couple.
Nourrir ces trois bébés au biberon nécessite beaucoup de moyens. «La mère ne peut pas les allaiter tous", plaide le père.
Nés par césarienne au bloc opératoire de Centre hospitalier régional (CHR) de Duékoué, les enfants Nabatoum Eloi, Émile et Elorie se portent bien, selon leurs parents.
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